Découvrez pourquoi Gilou a choisi une Pop. Il partage son avis et son expérience sur ce modèle de montres

Je recherchais un chronographe panda, j'avais jeté mon dévolu sur une Heuer Autavia 85th birthday, et par hasard je tombe sur cette Paul Picot Gentleman 42 Chrono GMT. Le coup de foudre immédiat ! Quelle merveille ! La finition est très soignée, avec une alternance de poli/brossé sur le boitier et le bracelet qui fait que la montre a de superbes reflets à la lumière. Le cadran texturé est très bien fini et très soigné. Comme son nom l'indique, c'est un boitier de 42 mm (sans couronne) sur un peu plus de 15 mm d'épaisseur. Elle a donc une certaine présence sur le poignet, d'autant qu'elle n'a pratiquement pas de lunette. Mais sur mon poignet de 18 cm, elle me va très bien. Le mouvement est un 7750 avec la plus haute finition, et remanié par Paul Picot. Côtes de Genève, vis bleuies, platines travaillées, mais on ne le voit même pas car le fond du boitier est plein et gravé d'un "gentleman". Couronne gravée "PP" comme toujours chez Paul Picot. Boucle déployante papillon signée "Paul Picot Gentleman". La montre est assez lourde, mais le bracelet très confortable. Sinon, pour ceux qui ne connaissent pas la marque, voici un bref récapitulatif : Marque crée par Mario Boiocchi (italien passionné d'horlogerie) en 1976, en pleine crise du quartz. Il admire les petits artisans horlogers suisses, dont l'un d'eux s'appelle Paul Picot. Pourtant, ceux-ci sont amenés à faire faillite ou disparaitre. Il va donc créer un atelier de montres avec comme point d'orgue ces 3 mots "Artisan-Horloger-Suisse", car il est persuadé que l'horlogerie suisse peut survivre si elle se concentre sur ce qu'elle sait faire de mieux : le savoir-faire et la qualité. Le slogan de la maison est : "la passion du détail". Et depuis 1976, Paul Picot existe toujours et vend entre 3000 et 4000 montres par an. Il est dommage que la marque soit très peu connue en France (beaucoup plus en Italie et en Allemagne).Je vous laisse découvrir la mienne et j'espère que cela vous donnera envie d'en savoir plus (c'est un peu le but de cette plateforme) !

La belle inconnue

Voici une LIP type Courant qui date du début des années 1910. Un classique à l'époque, avec son boitier presque carré (31,5 x 32mm) et ses anses soudées. Ces montres étaient agrémentées d'un bracelet en toile ou d'un cuir serti, mais j'ai préféré lui mettre un NATO de 22 mm pour faire un style un peu décalé. Au poignet, la LIP fait un peu petite (les normes de l'époque), mais avec le NATO, ça passe (mais cela fait quand même plus bracelet que montre).
Elle est dans un très bon état d'origine, car contrairement à la majorité des type Courant de l'époque, celle-ci n'est pas en nickel chromé, mais son boitier est en argent massif (poinçonné), donc exempt de corrosion.
Elle a besoin d'une révision de son mouvement car elle ne veut pas repartir (cela faisait 10 ans que je ne l'avais pas ressorti non plus). Elle ne sert quasiment jamais et les huiles ont du figer.
Je l'avais acheté surtout pour son look, son état, et son âge. Et puis c'est une LIP.....et j'aime bien les vielles LIP en général !


Une bien jolie ancêtre

Une toute mignonne ZENITH des années 50', avec une très jolie patine du cadran buriné par le temps. Boitier de 34 mm avec des cornes plutôt originales, un mouvement qui fonctionne à la perfection. Du grand classique, mais de très bonne qualité. On est rarement déçu quand on achète ce genre de vintage.

A la recherche du temps passé

Cela fait plus de 2 ans déjà que je recherchais une VERDAL type Tour de France parfaite. J'en ai vu défiler quelques unes, mais très souvent en état moyen, ou avec des pièces non conformes. 
Personnellement, je recherchais surtout la référence 9308 qui est pour moi une des mieux finies, et j'ai enfin trouvé celle-ci il y a un mois. Cornes percées, couronne siglée de l'hippocampe, étanche à 20 ATM (peu courant sur une dress-watch des années 60), placage or comme neuf, index et chiffres en relief, magnifique cadran avec une adorable petite trotteuse. Parfaite ! Le calibre est un Unitas 6325, ici en version incabloc (donc 17 jewels), qui est vraiment bien réglé et précis (-4 /+2 s/j). 
Plus je la regarde en détail, et plus je la trouve objectivement bien finie. Et malgré le fait que c'est une marque qui parle à peu de monde, je trouve qu'elle tient facilement la comparaison avec des modèles plus "prestigieux". 
C'est une montre que je porte actuellement assez souvent, mais depuis le temps que je l'attendais, cela parait normal. Il est rare qu'un garde temps me procure autant d'émotion et de satisfaction !

Enfin une TTF dans ma collection

Voici une petite ZENITH (34 mm) des années 50', que j'ai depuis plus de 30 ans maintenant.
C'est une montre on ne peut plus classique, avec cependant des cornes sympa. 
Je ne comprends pas, par contre, l'inflation qu'il y a sur ces modèles, sous prétexte que c'est une marque connue.
OK, c'est fiable, ça fonctionne bien, et j'en suis très content. J'en avais d'ailleurs acheté une autre dans la foulée (la même, mais plaqué or et grande trotteuse).....Mais bon, il y a plein de petites montres classiques de marques moins renommées qui font tout aussi bien le job, et sont dignes d'intérêt.
Si la mienne était en vente aujourd'hui, je pense que je passerais mon chemin. Après, ce n'est que mon avis, et je respecte totalement ceux qui recherche une ZENITH comme celle-là et sont prêts à y mettre le prix.
Mais pour moi, il y a tellement de petites pépites vintage méconnues à découvrir...

Ultra classique

Magnifique version de LIP Himalaya, avec son boitier UFO et son cadran très épuré. Le soleillage est ici fortement accentué, avec des teintes allant du gris acier jusqu'au gris anthracite qui donne un splendide effet de profondeur; et souvent un effet "cadran fumé". Tout le reste de la montre est plaqué or, et l'ensemble accroche bien la lumière sans faire bling-bling. Design très pur donc, sans fioriture, mais avec une petite trotteuse orange vif qui vient donner un petit coup de peps à l'ensemble, sans dénaturer l'esprit originel de la montre. Très réussi.
Seul petit bémol : une couronne un peu petite et trop intégrée, donc difficile à remonter (remontage manuel).

Un design très pur

Très jolie montre pour une très jolie marque. DREFFA GENEVE a produit des montres de grande qualité très fiables. Celle-ci est une plongeuse des années 60', étanche à 20 ATM, couronne vissée, quick set de date, avec un superbe cadran en dégradé de bleus qui rappelle les profondeurs de l'océan. Le mouvement est fiable et très précis (-4 / +10 s/j).
C'est une montre que je porte toujours avec un très grand plaisir.

Une plongeuse de qualité

Dans les années 60', il y avait de nombreux modèles de montres de plongée. Mais les 30 ATM étaient de vraies toolwatches visant particulièrement les passionnés de la mer. 
Cette BULER en est l'exemple type. Elle fait partie de ma collection depuis de nombreuses années, et je l'aime toujours autant. Ce modèle existe en cadran champagne (comme ici) et en noir. Le mouvement comporte un balancier en béryllium (matériau presque amagnétique) qui était une innovation de la marque (brevet déposé). Buler en était très fier et l'avait inscrit au début sur ses cadrans.
J'apprécie également la lunette très fine et le magnifique fond de boite représentant Neptune, Roi des Océans.
Elégante, efficace et précise, c'est une très jolie vintage diver. La seule chose à surveiller lors de l'achat est le parfait état général, car comme beaucoup de 30 ATM anciennes, ces montres ont souvent bien vécues.

Une vraie petite pépite

Jolie petite YEMA Sous-Marine qui m'accompagne depuis pas mal d'années maintenant.
Je l'ai porté souvent à une époque, et dans toutes circonstances, sans ménagement. Et je peux dire qu'elle est très robuste et très fiable.
Une montre très sympa, chic, discrète et abordable, pour porter tous les jours.

Simple  et chic

Dans l'histoire de LIP, la T18 a laissé son empreinte de façon significative. En effet, ce modèle des années 30/40 déjà appréciée pour la qualité de son calibre, a connu sa reconnaissance lorsqu'un exemplaire en or massif a été offert à Winston Churchill en 1948, devenant la "Churchill". Elle a été rééditée depuis 1988, et est toujours au catalogue de LIP, mais avec un mouvement Quartz (???!!) Ronda (?????????!!!!). Si vous en cherchez une, préférez une originale comme celle-ci. Peut-être moins précise, mais plus dans l'esprit de LIP.
(Pour être totalement objectif et précis, LIP a également ressorti la T18 avec un boitier plaqué or et un mouvement en tout point identique à celui des années 30, limité à 180 exemplaires, pour 2500 € environ (toutes vendues))
J'ai acheté la mienne il y a au moins 30 ans. C'est une montre qui m'a toujours attiré : aussi légitime qu'une Cartier Tank, mais moins chère (moins bien finie aussi, mais on ne peut pas tout avoir à ce prix !).
Restée en sommeil pendant une vingtaine d'année, elle est un peu gommée, mais elle va avoir droit à une révision complète de mon horloger très bientôt. Elle repartira ainsi de plus belle pour plusieurs décennies à mon poignet.

Une icone à part entière

Les Super Compressor m'ont toujours plu. J'ai acheté celle-ci il y a environ 25 ans, mais déjà à l'époque il y avait beaucoup de passionnés pour ce genre de modèle. La mienne est une POP fabriquée vers 1966/67 par une association d'horlogers qui, dans le cas présent, agissait plutôt en tant qu'emboîteur. En effet, la plupart des Super Compresseurs vintage encore en circulation ont des composants communs et facilement reconnaissable, dont le boitier fourni par Ervin Piquerez SA avec les mentions des brevets 317537 et 337462, le scaphandrier, 20 ATM, EPSA,... Le diamètre est de 36 mm ici, mais comme la lunette est quasi absente, la montre a une jolie présence sur mon poignet de 18 cm, que les 2 grosses couronnes quadrillées viennent souligner. Le mouvement est un ETA 2472 à remontage automatique encore très précis. J'adore les Super Compressor et j'avoue qu'une Enicar Sherpa Super Dive serait la bienvenue dans ma collection. Malheureusement, les prix de ces vintages ont tendance à grimper, ce qui est leur seul principal défaut.

Une Super Compressor irrésistible

Avoir dans ma collection une CAUNY Submarine était pour moi incontournable. J'ai toujours aimé cette montre. 
Il en existe différentes variantes, certaines mieux réussies que d'autres, mais en général, elles sont très sympa.
Les CAUNY Submarine sont des 21 Atmos (210 m) qui s'affirmaient comme de vraies plongeuses.
Je pense que les 21 Atmos revendiqués n'étaient qu'un argument commercial fallacieux, car la majorité de ses concurrentes 20 Atmos étaient surement étanches au-delà de 200 m. Mais les CAUNY se démarquaient donc du lot.
Il faut dire que le "verre" plexi a l'air quand même très épais (très certainement renforcé et bagué pour résister à la pression).
Souvent équipées de mouvements de qualité, les CAUNY sont de merveilleuses montres vintage, fiables, robustes et précises (+5 à +10 s/j pour celle-ci).


Un choix évident

Il y a une quinzaine d'années, j'ai eu une période où je m'intéressais aux plongeuses des années 60/70 abordables, mais de qualité, avec au moins 20 ATM d'étanchéité. Et entre autres, cette ANJAX au design très typé avec sa trotteuse et ses touches d'orange sur le cadran. Couronne vissée, 20 ATM, mouvement automatique, boitier de 38 mm, lunette en alu bleutée. De bonnes specs pour l'époque et un look sympa m'ont convaincu de l'acheter, et je n'ai pas été déçu jusqu'à présent. Très bonne montre !

Une petite plongeuse vintage

Cette SUJA est toute mignonne avec son beau cadran texturé et ses anses façon corne de vache, mais stylisées.
J'adore ces montres du début des années 60 avec leur mécanique simple mais extrêmement robuste et fiable. Cette montre n'a, à ma connaissance, jamais été révisée, mais démarre au quart de tour, tient très bien l'heure et ne dérive que de +10/15 secondes / jour.
Marque peu connu, SUJA a surtout fait, dans les années 50/60 des montres de femmes en or.
Celle-ci a rejoint ma collection il y a une vingtaine d'années, et j'en suis très satisfait.

Une petite montre vraiment cool

Pour moi, une KELTON, c'est avant tout un look, et une montre fiable. Exactement les caractéristiques de la mienne. 
Elle tient vraiment bien l'heure et n'a toujours pas été révisé depuis que je l'ai acheté il y a 35 ans !
Après, vu le coût d'une révision chez un horloger et le prix d'une KELTON, il faut vraiment y tenir pour effectuer un service.
J'aime beaucoup également son look de diver, mais qui assume totalement ses 25 mètres de résistance à l'eau. Autrement dit, elle n'est pas du tout étanche. Mais bon, à ce prix là, on ne peut pas avoir une 20 ou 30 ATM non plus.
Après, le plus important, c'est qu'elle me plaise à moi


Une Kelton pur jus

Les modèles de KELTON sont innombrables et peut devenir le thème d'une collection de montres à part entière. 
En voici une que j'aime bien pour plusieurs détails. D'abord son cadran violet peu courant, qui peut virer vers le noir. Ensuite, ses aiguilles assorties aux index en relief qui tranche avec le cadran et qui assure une parfaite lisibilité. Belle forme de boitier, complication jour/date. 
Rien d'extravagant, mais un joli design, un bel état de conservation, et une fiabilité exemplaire. Une KELTON !
Sinon, la mécanique est comme le reste : en toute simplicité.

En toute simplicité

J'ai été bercé, nourri, voir gavé par les publicité KELTON dans ma jeunesse. 
"Vous vous changez.....changez de KELTON".
Moi qui m'intéressais déjà aux montres dans les années 70, c'était la marque populaire par excellence à laquelle on ne pouvait pas échapper.
Voici ma première KELTON, qui fonctionne toujours très bien, sans aucune révision depuis presque 40 ans. Je ne l'a met plus car elle est un peu petite maintenant (mon poignet a grossi entre temps).
Je l'avais acheté car le cadran et les aiguilles ressemblaient à la BENRUS 3061 (montre que j'aimais beaucoup à l'époque).

La nostalgie à mon poignet

Si aujourd'hui, beaucoup de collectionneurs commencent avec SEIKO, il y a quelques décennies, KELTON était un choix tout à fait justifié. Marque très populaire dans les années 60/70, elle a démocratisé la montre abordable et fiable. Les KELTON ne sont pas des merveilles de technique (je parle des montres mécaniques), mais la très grande majorité de celle que j'ai eu entre les mains fonctionnent toujours après 30, 40, 50 ans de bons et loyaux services. Et la plupart du temps, sans avoir eu un entretien de maintenance. 
En voici un exemplaire des années 60 qui a bien vécu, mais qui tient encore très bien l'heure.
Look sympa et fiabilité : c'est tout ce que je demande à une KELTON !

La base !

Encore un 7734 de ma collection. Il s'agit d'un chronographe TYLEX que j'aime beaucoup. D'abord le cadran. J'avais déjà eu, il y a une trentaine d'année, un chrono S.A.N.E.P. avec exactement le même cadran. Malheureusement, j'ai perdu cette montre lors d'un déménagement, mais son look était resté depuis dans le dédale de mes souvenirs. Et puis, il y a 3 ans, j'ai trouvé ce chrono avec ce même cadran. Ni une, ni deux, je l'ai acheté sans me poser plus de question, surtout que je connaissais la marque TYLEX pour en avoir déjà une dont j'étais satisfait.
Depuis, cette montre me comble de joie. Elle a un mouvement que j'apprécie et qui est très fiable quand il est bien entretenu. Elle est dans un superbe état de conservation. Et elle a comblé un des vides de ma collection.

Un superbe look vintage.

Singulière mais plutôt jolie, cette TYLEX du début des années 60 à un cadran de couleur saumon, peu courant à son époque, mais qui est revenu à la mode récemment. La typographie des chiffres en relief est également sympa. Son boitier de forme très classique porte les stigmates du temps passé (je l'ai beaucoup porté à une époque). Et son mouvement est terriblement précis. J'ai également un chrono TYLEX tout aussi qualitatif. C'est pour moi une marque vintage peu courante qui ne demande qu'à être connue.

Le saumon lui va si bien.

Le Valjoux 7734 est un incontournable pour tous les amateurs de chronographes vintage.
Voici un chrono URECH de ma collection équipé de ce mouvement. Il est très typé " 70' " avec sa forme de boitier et ses aiguilles rouges. L'état est exceptionnel, proche du neuf. 
URECH est une marque suisse peu courante, mais qui existe toujours (vend essentiellement des bijoux maintenant.et quelques montres de femmes).
Le boitier est un peu épais, ce qui n'est pas justifié sur un mouvement à remontage manuel. Mais le look est vraiment très sympa et l'absence de cornes fait qu'il s'adapte bien au poignet.
Mon horloger vient de faire une très grosse révision le mois dernier, et une fois réglé, le 7734 est d'une extrême précision. 
J'aime beaucoup cette montre, et je la porte relativement souvent.

Un chrono 7734 très sympathique

TIMEX étant une de mes marques de coeur, je ne suis pas forcément le plus objectif pour en parler. 
En voici une que je trouve particulièrement réussie. 
La forme de son boitier est originale, le brossage circulaire donne un superbe effet, et le cadran bordeaux légèrement fumé apporte beaucoup de profondeur.
En plus, elle est dans un état proche du neuf, et après un réglage chez l'horloger, le mouvement, quoique basique, est très précis.
Une jolie Timex que j'ai rarement vu ailleurs, mais qui mérite toute mon attention.

Une Timex de 1er choix

Je ne suis pas un fan des montres russes, mais pourtant, quand je suis tombé sur cette petite OURAL il y a une vingtaine d'années, j'ai tout de suite trouvé son nom évocateur.
L'Oural, cette chaine de montagnes qui marque géographiquement la limite entre l'Europe et l'Asie correspond parfaitement à cette montre.
Extérieurement, elle ressemble à une montre française ou suisse des années 50, mais, côté mécanique, on est plus dans la tradition russe du point de vue de sa conception.
J'aime beaucoup le soleillage très prononcé du cadran, qui est également brillant comme un miroir.
C'est une montre que je ne porte quasiment jamais, que je n'entretiens pas spécialement, mais qui démarre toujours à la moindre sollicitation et ne vous laissera jamais tomber. Rustique, mais incroyablement robuste !

Une russe inconnue

Deuxième DOMINA de ma collection,; celle-ci a un look désuet qui ne laisse pas insensible les amateurs de vintage comme moi.
Equipé d'un joli calibre automatique qui a été révisé il y a quelques années déjà, elle est toujours très précise et fonctionne parfaitement bien. 
Je sais par expérience que ces vieilles mamies sont largement aussi fiables que les 3 aiguilles/date modernes. Cette Domina en est la preuve.

Vintage à souhait

Voici une WYLER mécanique à remontage manuel qui date des années 80. La forme du boitier est à la fois originale, mais aussi d'un extrême classicisme. Très sobre avec seulement ses deux aiguilles, elle a la taille d'une "Tank" et s'ajuste très bien à mon poignet de 18 cm.
Marque réputée en son temps, celle-ci ne déroge pas à la règle, car malgré son aspect simpliste, elle est très bien réalisé.
Je l'ai trouvé vraiment par hasard, mais c'est une jolie trouvaille.

Une sobriété exemplaire

Petite dernière arrivée dans ma collection, j'aime beaucoup le look de cette SICURA. Elle me fait penser un peu à une Breitling SuperOcéan, mais avec sa propre personnalité. Après, ce n'est pas étonnant quand on connait l'histoire de Sicura et de Breitling.
Assez courantes sur le marché vintage, les SuperWaterproof 400 le sont beaucoup moins en très bon état. Ce qui est normal, car ces montres ont en général "bien vécu". 
Le diamètre est de 41mm, mais la lunette est épaisse, et l'échelle 24H blanche également (elle constitue pour moi l'atout charme essentiel de la montre). Donc le cadran est réduit et la montre apparait plus petite qu'elle n'est. Très réussi !
La deuxième couronne sert à bloquer la lunette pendant la plongée (mais l'efficacité est bien moindre qu'avec une Yema Superman).
Cela faisait longtemps que je regardais les SuperWaterproof 400, mais c'est l'état de celle-ci qui m'a décidé à franchir le pas.
Les prix, bien qu'ils aient augmenté, restent corrects pour ce genre de montre. En définitive, je suis très content de cet achat.

Une plongeuse adorable

Lorsque j'ai vu cette SEIKO SRPA13J1 pour la première fois, j'ai tout de suite eu le coup de foudre. Malheureusement, elle n'était plus produite, mais après quelques mois de recherche, j'ai réussi à la trouver en neuve chez un bijoutier près de chez moi, qui l'avait donc en stock depuis........un certain temps déjà ! D'où une négociation assez facile....
Beaucoup de choses me plaisent en elle, à commencer par son très beau cadran texturé. Et puis il y a aussi ses aiguilles feuilles et la trotteuse très fine, la couronne joliment travaillée, la forme du boitier, le diamètre parfait de 39mm, les index facettés, l'étanchéité de 10 bars, etc...
Seul, le mouvement n'est pas fou fou. Un 4R35 basique, d'une précision juste correcte. Elle aurait mérité mieux.
Toujours est-il que je la trouve beaucoup plus harmonieuse que ma Presage Blue Moon.
J'aime beaucoup cette montre, et avec un bracelet crème elle est presque parfaite.

L'élégance selon SEIKO

Voici une ANJAX des années 60, marque française peu connue qui était distribuée par les Etablissements BOULLANGER & Fils situés à Bordeaux.
J'aime beaucoup ce design de gros chiffres luminescents si caractéristiques (que l'on rencontre d'ailleurs assez souvent).
Avec le temps, la luminosité s'est estompée, mais le look et la typographie restent sympa.
Le mouvement vient d'être entièrement révisé et il est incroyablement précis. Mon horloger a encore fait des miracles. Mais on obtient de si bons résultat que si la base est déjà bonne. 
Pour résumé, petite montre (34 mm) de bonne facture, petit prix, mais grand plaisir de la porter.

Un design lumineux

Trop commune, trop "réussite sociale", trop "Séguéla". Tous ces clichés de la Submariner m'avaient atteint et décidé qu'il n'y avait aucun intérêt à en acheter une. Des jolies plongeuses à 300 m, fiables et moins chères, il y en a quand même quelques unes sur le marché. Et puis à l'époque, il y a environ 4 ans, j'étais à la recherche d'une BLANCPAIN Léman en or blanc à cadran bleu.......On part de loin......Vraiment rien à voir ! Comment désirer une dress-watch en or, très rare en bleu, et acheter une plongeuse sportive plutôt courante ? Simplement par hasard. Je me promenais dans une grande ville avec ma femme lorsque j'aperçus une boutique spécialisée dans les ROLEX anciennes. "Juste un petit coup d'oeil, ma chérie". Vu la tête de ma femme, le coup d'oeil avait intérêt à être rapide. Je rentre et j'aperçois entre autres plusieurs Submariner. Et là, il y en avait une qui ressortait du lot. Au premier regard, elle ressemblait à toutes les autres 16610 présentes (ce que ma femme n'a pas manqué de me faire remarquer !), mais son état était exceptionnel. La montre datait de 1998 mais n'avait quasiment pas été porté, jamais polie, aucune patine. Un état neuf. Et là, je me suis vu faire un retour dans le passé de 25/30 ans en arrière, à l'époque où les idées préconçues sur la Submariner n'avaient aucune emprise sur moi. Je me rappelais que j'aimais son côté baroudeuse, le concept de montre indestructible qui fait de cette montre LA montre d'une vie. Mais bon, en voyant le tarif, ma femme m'a vite remis les pieds sur terre. Donc, je lui ai promis d'abandonner le projet BLANCPAIN, et elle a cédé. Sinon, il s'agit d'une 16610 de 1998 (dernières tritium) entièrement d'origine, avec tous les papiers, boites et goodies possibles. Pour les specs, je ne reviens pas dessus; tout a déjà été dit. La finition est vraiment très soignée. La précision du mouvement est exceptionnelle : 0 à + 1 s/jour sur 5 positions, et ce depuis 4 ans. C'est la montre la plus précise de ma collection. Et non, elle n'est pas grosse. Un diamètre de 40 mm et une épaisseur contenue en font une montre tout à fait classique au poignet. Pour conclure, je n'ai à aucun moment regretté cet achat, et donc il ne faut jamais dire Jamais !!

Une Submariner....Moi, jamais !

Parmi les montres vintage, il y a une catégorie que j'affectionne particulièrement : celle des chronographes diver.
Dans les années 60/70; elles étaient considérées comme de véritables montres outils. A la fois chronographe et vraie plongeuse (en général 200 mètres), ces montres de sport étaient là pour contenter "les hommes actifs" (cf les publicités de l'époque).
La mienne est une AUREOLE des années 60. Spécialiste des chronographes et des montres de plongée, c'est une marque que j'aime beaucoup, avec une grande expérience (dès 1933, elle fabriquait des montres étanches tout acier). 
Elle est dans un état exceptionnel, surtout quand on sait que ces montres étaient utilisées au quotidien et souvent sans ménagement.
Pour le côté chronographe, elle est équipée, comme de très nombreux chronos à l'époque, d'un mouvement Landeron (ici un 48). Calibre simple mais efficace, c'est un vrai tracteur hyper fiable, et en ce qui me concerne, très précis.
Pour le côté diver, elle est étanche à 20 ATM, boitier tout en acier, couronne vissée, et une fois tous les joints (fond de boite, poussoirs,...) changés, elle a repassé le test d'étanchéité de 20 bars sans problème !
Indestructible, je vous dis !!
J'adore aussi la couleur bleu acier des sous compteurs, peu courante, et son diamètre idéal de 38mm.
Vous l'avez compris : je suis un fan absolu de cette montre et je la porte très souvent.

La tool-watch par excellence !

Dans les tréfonds de l’histoire, au cœur des années 1950, réside un trésor intemporel : la montre suisse de mon grand-père, une pièce d’exception de la marque Pop. Son boîtier poli, témoignage du savoir-faire horloger ancestral, abrite un mouvement d’une rare noblesse : le calibre Landron. Chaque fois que je porte cette montre, c’est bien plus qu’un simple accessoire qui orne mon poignet. C’est une connexion tangible avec mon héritage familial, une immersion dans l’histoire et les souvenirs de mon grand-père.

Chaque tic-tac de cette montre résonne comme un battement de cœur, rappelant les moments partagés, les histoires racontées et les leçons apprises. Le calibre Landron, avec sa précision inégalée, semble être le gardien des instants précieux que mon grand-père a vécus, un témoin silencieux de son époque et de son parcours de vie.

Porter cette montre, c’est ressentir un mélange d’émotions profondes : la fierté de perpétuer un héritage familial, le respect pour l’artisanat traditionnel suisse et l’amour pour celui qui l’a portée avant moi. Chaque fois que je glisse cette montre à mon poignet, je me sens transporté dans le temps, enveloppé par une aura de nostalgie et de gratitude.

Ainsi, cette montre, gardienne du passé et messagère du présent, incarne l’essence même de l’art horloger suisse, transmettant de génération en génération l’héritage précieux d’une époque révolue, mais jamais oubliée, tout en évoquant les émotions intenses et le souvenir de mon grand-père.

L’héritage du temps

La marque Arilus a &eacute;t&eacute; cr&eacute;&eacute;e par Christophe Quillon, un esprit cr&eacute;atif passionn&eacute; par le design. Fort de son exp&eacute;rience en recherche et d&eacute;veloppement de produits de luxe, il a lanc&eacute; Arilus dans le but de favoriser une &eacute;conomie circulaire et un d&eacute;veloppement durable en valorisant les mati&egrave;res premi&egrave;res et le savoir-faire de Savoie, en respectant une &eacute;thique durable.
Les montres <a title="Page Arilus Grand Arc" href="https://www.dialicious.com/arilus/grand_arc">Arilus Grand Arc</a> et <a href="https://www.dialicious.com/arilus/roc_de_fer/2294-gra">Arilus Roc de Fer</a> refl&egrave;tent l'histoire et la tradition des deux Savoie. La marque cherche &agrave; transmettre cette histoire en combinant des techniques traditionnelles avec une approche technique et contemporaine. Arilus tire son nom d'un patronyme d'origine gauloise, faisant r&eacute;f&eacute;rence &agrave; la r&eacute;gion, berceau de la marque.
Les principaux composants des mod&egrave;les <a title="Page Arilus Grand Arc" href="https://www.dialicious.com/arilus/grand_arc">Arilus Grand Arc</a>, &agrave; l'exception du mouvement m&eacute;canique, sont enti&egrave;rement constitu&eacute;s de ressources naturelles et industrielles de la r&eacute;gion, tels que des cadrans en bois pour la <a href="https://www.dialicious.com/arilus/grand_arc/frene">Arilus Grand Arc Fr&ecirc;ne</a> ou en ardoise pour le mod&egrave;le <a href="https://www.dialicious.com/arilus/grand_arc/ardoise">Arilus Grand Arc Ardoise</a>. Les bracelets sont en laine de mouton ou en peau de vaches locales. Les formes incurv&eacute;es des montres s'inspirent des courbes paraboliques du ski alpin, leur conf&eacute;rant un aspect graphique unique.
Le mod&egrave;le est <a href="https://www.dialicious.com/arilus/roc_de_fer/2294-gra">Arilus Roc de Fer</a> est un chronographe reprenant les codes esth&eacute;tiques de la collection Grand Arc avec un partie pris sportif et tr&egrave;s audacieux. Le chronographe Roc de Fer permet &agrave; la marque d'&eacute;largir sa collection tout en renfor&ccedil;ant son ADN stylistiques ancr&eacute; dans le territoire et le savoir-faire savoyard.&nbsp;
<h2>Combien co&ucirc;te une montre Arilus ?</h2>
La collection Grand Arc comprend 3 r&eacute;f&eacute;rences, Arilus Grand Arc Fr&ecirc;ne et Airilus Grand Arc Ardoise vendues sur le site de la marque 2,950 &euro; et la Arilus Roc de Fer est commercialis&eacute;e 3,500 &euro; pour les 50 premi&egrave;res commandes.
Pour choisir le mod&egrave;le Arilus qui vous correspond le mieux, les avis clients Dialicious sont une pr&eacute;cieuse ressource pour &eacute;valuer les diff&eacute;rents mod&egrave;les de la marque &agrave; travers l'exp&eacute;rience r&eacute;elle des clients.&nbsp;
(Mise &agrave; jour F&eacute;vrier 2024)

Avis Pop : Irresistible, iconique et passionnante

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