Pourquoi les amateurs de montres choisissent la marque Breitling ?

Je suis content d'avoir découvert Dialicious il y a quelques temps. Je possède cette Breitling Jupiter Pilot réf. A59028 depuis plus de 20 ans. J'ai un amour profond pour sa forme de boîtier, qui mériterait vraiment un bracelet en acier. Cependant, son bracelet en cuir de requin véritable ton sur ton est exceptionnel. Étonnamment, son mécanisme à quartz reste très précis. Si la lisibilité pourrait être meilleure, en tant que fan de Breitling, on y est habitué et cela fait partie de la complexité que l'on recherche dans une telle montre. Très franchement, je ne porte pas souvent cette montre car l'autonomie de la pile ne dépasse pas neuf mois. Néanmoins, j'aime cette montre pour son style unique et vintage qui démontre sans cesse l'ADN de Breitling année après année.

En plus d’être un réel coup de coeur cette montre répond parfaitement à mes attentes. La couronne visée de type oignon, le bracelet rouleaux, les quatre cavaliers présents sur la lunette sont fidèles au design originel lancé en 1983 pour les pilotes Italiens. Ils apportent du charme et du caractère. J’ai opté pour ce jolie cadran gris « ardoise »(couleur exclusive boutique). Chaque rayons de soleil, ombres, angles donnent des reflets différents au cadran et à cette lunette en acier polie miroir, c’est très attrayants à regarder. L’aiguille rouge GMT vient lui apporter de la couleur. J’apprécie contempler cette belle trotteuse flotter sur le cadran. Le petit détail qui me plaît beaucoup, l’insigne de la marque qui représente un «B» en applique sur le cadran ! J’apprécie également les index’s de type bâton, difficile de choisir🤔 Je suis obligé de parler du mythique bracelet rouleaux. Selon moi il est sublime et confortable. Rien à redire il est parfait! Le coeur de la montre est alimenté par le Calibre 32 de chez Breitling, une base ETA 2893-2 modifiée par la marque et certifié COSC. Ce mouvement ne fait pas l’unanimité car pour le prix certains souhaiteraient un mouvement manufacturé. Personnellement cela ne me dérange pas. Cette Chronomat à une allure et des caractéristiques sportives (étanche 20 ATM, couronne visée, protège couronne) mais aussi un coté chic ce qui fait d’elle une pièce polyvalente. Vous l’avez compris j’adhère à 100% au modèle tant il me procure du plaisir au poignet et des émotions.

Une plongeuse « édition spéciale 50ans du modèle » chez les spécialistes des montres d’aviation, c’est peu commun ! Une montre de cette dimension, ça l’est encore moins ! 46mm au poignet… D’aucun n’y verront qu’une montre pour l’ostentation, que l’on revêt uniquement pour qu’elle soit vu et reconnu… Je vois ici un sublime garde de temps d’un bleu soleillé hypnotique, cadran 3 aiguilles et logo Breitling en Or 18k joliment agrémenté d’index bâtons d’un contour « chemin de fer » qui ne semble ne faire qu’un avec la lunette en céramique du même ton. Le rendu est simple, efficace et donne une tocante qui donne l’heure précision COSC avec une belle réserve de marche de 70h. Que demande le peuple ? Ab initio, ce type de modèle ne m’intéressait guère jusqu’à ce que j’en croise un en vitrine et qu’après essayage, son imposant diamètre ne m’apparaisse plus si dérangeant que cela. Le bracelet en maille milanaise est léger et agréable à porter contrastant ainsi subtilement avec la lourdeur du boitier et formant au final un ensemble homogène. Pour le coup, c’est un véritable plus et un véritable changement par rapport aux classiques. Mécanisme de fermeture à boucle déployante avec rappel de l’ancien logo « B ailé » de Breitling barré d’une ancre. Détail sympathique. La montre est rassurante et objectivement réussie en terme de visuel, dans un design sport-chic qui permet de l’accompagner avec n’importe quelle tenue. Au niveau des bémols, une lunette unidirectionnelle sans indications chiffrées qui « bruite » de façon assez banale. Les 120 dents qui l’a compose n’est pas des plus agréable au toucher et la calligraphie de « SuperOcean » n’est pas la plus belle chose qui existe en ce bas monde. L’indication du quantième date avec une loupe grossissante n’aurait pas été un luxe pour une montre de (petite) plongée (200m)… Bref, autant de détails qui font que l’on ressent bien que Breitling préfère voler plutôt que nager. Mais n’allant pas plus loin d’où j’ai pied, ces défauts sont pardonnés. Achat très récent, pour remplacer une Aquaracer professionnelle que j'ai beaucoup aimé, beaucoup porté mais qui ne m'apportait plus aucune émotion. Lassitude, envie de monter en gamme il manque l’expérience des jours heureux pour voir comment elle évolue avec le temps passant. Peut-être modifierais je mon avis dans quelques temps donc (si la plateforme me le permets haha)

Un joli chrono pour un prix abordable. Le cadran est blanc nacré et la lunette dentelé est polie. Le bracelet acier est très confortable même pour quelqu'un qui n'aime pas les bracelets acier. La boîte 41 est une bonne taille pour ce modèle passe partout. Dommage qu'elle ne soit pas étanche mais sinon rien à dire pour l'harmonie des couleurs et du design.

Copie conforme de la Breitling Navitimer référence 806, cette ré-édition reprend toutes les caractéristiques du modèle original en y ajoutant les derniers savoir-faire de la maison à travers le calibre manufacture manuel B09. Marque incontournable liée à l'aviation, Breitling me fascine depuis tout petit. La lunette perlée de cette Navitimer, son faible diamètre (41 mm) et son Plexiglas ultra-bombé ont fini de mon convaincre !

Rien ne peut égaler la valeur sentimentale d’une montre héritée de son père. Cette montre est celle qui m’a fait rêver en la voyant au bras de mon père. Celle qui m’a amené à aimer l’horlogerie. J’avais 14 ans alors. Je la porte sur cuir ou sur bracelet rouleau Breitling. Le calibre valjoux 7750 tourne parfaitement depuis 35 ans. Certains le trouveront trop bruyant. Pour moi c’est une douce musique.

Encore un chronographe avec cette Breitling Navitimer B01 en 46mm ! C'est un tableau de bord entièrement analogique pour le pilote que je ne suis pas. Il s'intègre parfaitement dans ma collection, notamment aux côtés de mon Omega Speedmaster Mark III. Beaucoup plus moderne et imposante avec ses 46mm, elle n'est paradoxalement pas aussi grande qu'elle le paraît du fait de ses cornes plutôt courtes. Sans être visuellement trop épaisse, les proportions en font une montre confortable à porter au quotidien. Son cadran bleu soleillé est magnifique et scintille de mille couleurs selon l'angle du soleil. Précision et fiabilité sont présentes, et finalement, c'est ce qu'on attend d'une montre récente au minimum. Je l'ai choisie avec le bracelet en caoutchouc bleu pour lui donner un look encore plus sportif que sur du cuir exotique. Le bracelet en acier véritable Breitling lui donnait en revanche un aspect trop brillant qui la faisait glisser vers une montre ostentatoire ! J'adore !

Breitling Chronomat ref : B13050.1 (produit au milieu des années 90) Chronographe automatique équipé du calibre Valjoux 7750. Mon modèle a la particularité d'avoir les 4 cavaliers ainsi que le logo appliqué en or 18K. J'ai craqué pour son cadran argent qui contraste magnifiquement avec les parties dorées. Le guillochage sur la moitié de la surface lui apporte une vraie élégance sans surcharger la montre. Les 3 sous-compteurs cerclés se parent de micro-sillons d'une grande finesse. Le balourd de l'aiguille du chrono arborant fièrement le logo de la marque contribuent au charme distingué de la belle. Bref, elle m'a séduit dès le premier regard.... Habillée de son bracelet alligator, elle est également très agréable à porter avec son diamètre contenu de 39mm. Deux petites remarques concernant la couronne que je ne trouve pas très préhensible ainsi que les vis et cavaliers qui peuvent s'accrocher dans les vêtements. La Chronomat est une icône de la marque au même titre que la Navitimer et cela s'explique par sa lunette immédiatement identifiable mais aussi son charme intemporel et bien sur une qualité de finition irréprochable.

Pour ma collection, je cherchais une montre d’aviation. Mon choix s’est vite porté sur un modèle emblématique: la Navitimer! J’ai d’abord étudié très longtemps tous les modèles car il y en a une pléthore. Il était alors difficile de faire un choix. Les nouveaux modèles sont très réussis mais je préférais dénicher une perle rare sur le marché de seconde main, une version unique de cette montre iconique. J’ai resseré mes recherches sur le modèle Cosmonaute pour plusieurs raisons. D’abord parce que c’est un modèle qui a une histoire fascinante. C’est le premier chronographe suisse qui a voyagé dans l’espace grâce à Scott Carpenter. Et c’est lui même qui a demandé à Breitling un cadran sur 24h afin de distinguer le jour de la nuit dans l’obscurité de l’espace. Cette spécificité me plaît car ça la rend originale et lisible qu’aux seuls initiés. D’autre part, cela rend les index plus serrés. Alors oui, c’est chargé, mais moi j’adore ça! Impossible de s’ennuyer en la regardant! Et parmi les modèles de Cosmonautes, cette référence a encore 2 trucs en plus. Premièrement, le guichet date qui n’était pas présent sur le modèle original et deuxièmement, le chronographe est muni d’une fonction flyback. Le cadran et un “reverse panda”, fond noir et sous-cadrans blancs, avec des accents de rouges à la fois sur la pointe de la trotteuse ainsi que sur les deux échelles de la règle à calcul. À midi on retrouve le logo Breitling “Ailes et Ancre” ainsi que les mentions “Chronomètre” et “Automatic” qui attestent que le mouvement est certifié COSC. Ce dernier est un mouvement Breitling Cal. 22 sur une base ETA 2892 modifiée avec un module flyback Dubois Depraz. Les aiguilles sont de type bâton effilées avec un revêtement luminescent et l’aiguille du chronographe a une pointe de flèche rouge et un contrepoids en forme du logo Breitling “B avec ancre”. Sur le fond de boîte, on retrouve le logo Breitling “Ailes et Ancre” ainsi qu’une échelle de conversion Celsius-Farenheit, petit détail que je trouve fort intéressant. Enfin, ce modèle est équipé d’un bracelet pilote à 7 mailles emblématique de la marque. Je le trouve très agréable à porter car il épouse parfaitement le poignet mais c’est une galère pour l’ajuster soi-même. Autre point négatif, le fermoir que je trouve difficile à ouvrir et pas pratique à l’usage. La spécificité de la Navitimer est bien entendu sa règle à calcul et quand on sait s’en servir, c’est un réel plaisir de l’utiliser. Outre les multiplications et les divisions, elle permet d’effectuer des règles de 3, de calculer des pourcentages, de convertir des Miles en Kilomètres ou des Francs suisses en Dollars américains. Sur ce modèle, il y a même une deuxième échelle pour les conversions de minutes en heures, ce qui est assez pratique. Pour ce qui est du négatif, je suis assez déçu par la qualité du mouvement. Je dois avouer que la fonction flyback ne fonctionne pas toujours, même en étant bien remontée et même après la révision effectuée chez Breitling. Le SAV de la marque laisse à désirer. Je trouve également que le chrono manque de vitesse de réaction. C’est probablement dû à ce mouvement modifié. Pour finir, mon avis sur la marque Breitling: C’est une marque qui me fait rêver. On lui associe le monde de l’aviation, de l’aventure et des exploits, notamment le tour du monde en ballon. Georges Kern a su redynamiser cet héritage et lui donner un look retro-chic-décontracté qui plaît aux jeunes. Specs: Cadran 24 heures, Lunette bidirectionnelle avec règle à calcul, Chronographe avec fonction flyback, petites secondes à 3 heures, date à 4 h 30. Diamètre: 41,5mm Epaisseur: 14,4mm Réserve de marche: 42 h Année: 2007-2011 Réf: A22322 Profondeur: 30 m Boîte en acier Glace saphir Mouvement automatique Breitling Cal. 22 (base ETA 2892 et module flyback Dubois Depraz) certifié COSC

J'aime beaucoup le Breitling de l'aviation, celui des grands modèles, celui du cuir généreux et solide ! J'ai trouvé ma pépite chez un grand revendeur dans l'occasion, un modèle de 2015, provenance du Royaume-uni, il faut faire venir la montre de là-bas mais tant pis ! Elle est magnifique et elle m'attire ! Je l'essaie donc sur la capitale, un régal. Les détails sont dingues, la pointe de la trotteuse rouge, la logo de la marque à l'opposé de la trotteuse, les détails des graduations, ce bruit particulier des chronos lorsqu'on les remet à 0...remonter un chrono manuellement... c'est une vraie expérience.