Pourquoi les amateurs de montres choisissent la marque Grand Seiko ?

Cette montre évoque beaucoup pour moi! C’est une nouvelle étape de ma collection. Je souhaitais une belle montre, bien faite qui m’accompagnera dans beaucoup de moments et qui marquera des souvenirs, comme la naissance de ma fille. Cette montre est moins démonstrative que d’autres de ma collection. J’aurais pu prendre un spring drive ou un hi-beat de chez grand seiko, un cadran plus travaillé ou des métaux spéciaux. Mais au bout de l’équation, c’était celle-ci la plus évidente: 37mm, boite pure et équilibrée, finitions irréprochables et surtout ce jeu de lumières entre cadran et index/ aiguilles. Au poignet, cette montre apparaît comme une photo retouchée, comme si le contraste avait été un peu trop augmenté pour être réaliste. Le polissage zaratsu, le cadran ciel, presque gris, jouent avec la lumière, et c’est comme si le revêtement du cadran et les 12 miroirs se disputaient pour savoir lequel serait le plus valorisé par le moindre rayon de lumière. Forcément très discrète, c’est pour moi une grande satisfaction de porter une montre que personne ne calcule, dont je suis le seul à pleinement profiter de la subtilité. C’est pour moi une nouvelle découverte du luxe: prendre la montre qui nous plait, qu’importe le prix et la hype. J’étais prêt à prendre une montre plus technique, évoluée… mais elle me semblait la plus aboutie, dans une simplicité déconcertante dont grand seiko a parfois le secret.

Cette GS quartz fut ma troisième. Après 2 modèles mécaniques (Nomos et Ming), j'avais envie de me faire plaisir, et de monter en gamme, sans idée préconçue, il fallait juste que je sois séduit. J'habitais à Genève, les essais furent donc faciles et nombreux. Malheureusement, pour un poignet de 16 cm, j'ai vite déchanté... Même pour des modèles de 39mm et moins, le diamètre n'était pas démesuré, mais aucune montre ne seyait à mon poignet : Tudor, Zénith, Mont-Blanc, H.Moser, Girard Perregaux, Glashutte Original... Ça ne collait pas. Et, pour les montres de moindre diamètre, cela manquait de présence, ou cela faisait trop bijou à mon goût. A l'époque, Seiko venait d'enlever les 2 indications pour ne laisser que la marque Grand Seiko. J'ai essayé un premier modèle, ce fut la révélation. Certes, la montre ne faisait que 37mm, mais elle épousait parfaitement mon poignet. A partir de là, je me suis passionné pour la marque. Ma première Grand Seiko est donc une montre à quartz, ce n'était pas mon souhait initiale mais je ne le regrette pas du tout. Depuis 6 ans et un changement de pile, la dérive est de moins de 5 secondes par an. Le bracelet en titane est super confortable, seul petit problème, pas de micro-réglage. La lisibilité est parfaite. Pour les finitions, c'est du Grand Seiko. J'ai récemment essayé un superbe modèle Spring Drive de 44,5mm de diamètre et 50mm de LtL, et bien Ça passe très bien. Japon 1 - Suisse 0

Après avoir vu un reportage très exhaustif sur le mouvement spring drive qui m'a définitivement convaincu que ce mouvement est bien un mouvement mécanique avant tout, je me suis mis à analyser les différents modèles et voir lequel pourrait me correspondre au mieux. Au même moment je cherchais une montre verte. En recoupant les 2 critères (spring drive + cadran vert) je suis arrivé sur ce modèle SBGE257. Dans la foulée je suis allé chez un AD Grand Seiko (Bijouterie Médard à Versailles) où j'ai eu la chance de pouvoir l'essayer. Après 2 jours de réflexion je suis retourné l'acheter. Depuis 8 mois c'est la montre que je porte le plus, elle est superbe sous tous les angles. Le cadran est mat la plupart du temps et devient soleillé sous forte luminosité. La précision du springdrive est évidemment imbattable (j'ai constaté une dérive de 1 à 2s par mois). Le polissage zaratsu des aiguilles et des index est incroyable. C'est une des montres qui amènent le plus de questions quand je la porte, en particulier avec sa trotteuse au mouvement parfaitement fluide qui glisse sans fin. Bon vous l'aurez compris je recommande vivement ce modèle. Avec ma Rolex Explorer II, c'est devenu mon daily préféré. Seul bémol : les vis des maillons du bracelet sont vraiment très petites et difficiles à manipuler (bracelet à faire régler par son horloger).

Après les expériences (très) concluantes de 2 modèles à quartz de GS, je cherchais une montre mécanique, ou équipée du mouvement Spring Drive, je m'orientais donc en priorité vers le modèle omiwatari SD et vers cette SBGW 231à remontage manuel. Toutes deux présentant un cadran dépouillé et sans guichet de date. J'ai pu les comparer : si le cadran de l'omiwatari avec l'aiguille qui glisse sur la neige est superbe, à mon poignet, il n'y a pas eu photo... Malgré son LtL plus grand, la SBGW 231me collait parfaitement au poignet grâce à ses cornes délicates. Je ne m'appesantirai pas sur la qualité de fabrication propre à GS mais sur l'évidence qui se dégage de cette montre : dès le bracelet fermé, je me suis dit : " ... , la classe à Las Vegas" Un cadran tout simple mais d'un crème subtile, aucune indication autre que Grand Seiko avec le GS en surplomb, des index et des aiguilles sans chichi mais qui jouent avec la lumière comme je n'avais jamais vu, un verre saphir bombé juste ce qu'il faut... Le bracelet, je l'ai tout de suite changé car je n'aime pas les bracelets noirs, et pour contraster avec ce minimalisme parfait, je pense qu'il fallait un peu de fantaisie et de texture côté bracelet. A noter, que GS a changé la référence pour adapter ses bracelets acier. Voilà, maintenant je cherche un modèle Spring Drive, mais je crois bien que j'ai trouvé...

Désirant acquérir depuis quelques temps une Grand Seiko pour les valeurs que la marque évoque, mon voyage au Japon a été un parfait prétexte pour passer à l'acte. Achetée d'occasion (avec quelques pocs, retirant un peu d'appréhension à la porter de peur de la rayer) le premier jour, cela m'a également permis d'assimiler beaucoup de souvenir à cette tocante. Celle-ci représente à mes yeux ma plus grande fierté dans le domaine horloger,et l'humilité que le marque dégage y joue beaucoup.

La quête d’excellence de Grand Seiko prend tout son sens avec cette magnifique Snowflake. Les caractéristiques de la montre apparaissent progressivement, il est ainsi difficile d’en établir une hiérarchie tant l’ensemble tutoie la perfection. Au premier contact la pièce surprend par sa légèreté. Le confort qui en résulte est très appréciable et, dépassant l’idée que le poids est forcément synonyme de qualité, on s’y habitue rapidement. Les dimensions de la boîte sont parfaites et l’alternance des surfaces polies et brossées offre un ensemble magnifiquement réussi. Le polissage Zaratsu délivre une incroyable perfection. Malgré l’absence de micro réglage, le bracelet est facilement ajustable en jouant avec les maillons de différentes tailles qui sont démontables sans difficulté. Trop serré ? Inversez un maillon court et un large. Trop lâche ? Remplacez un petit maillon par un grand. Le plongeon dans le cadran est un somptueux voyage entre reliefs, lumière et reflets. Le verre saphir est instantanément franchi, invisible. Le polissage des index et des aiguilles est éblouissant, il permet une lecture instantanée de l’heure même dans des conditions de très faible luminosité. Ainsi le moindre mouvement du poignet accroche la lumière et le regard dans une éclatante alternance de reflets. Enfin le cadran est d’une pureté rare, entre neige glacée et papier parchemin, il dévoile un paysage reposant et admirablement exécuté, poétiquement balayé par une sobre aiguille des secondes bleuie dont la fluidité du mouvement est hypnotique. Coté pile le mouvement Spring Drive dévoile brillamment son esthétique habilement maîtrisée. Le traitement des pièces qui le composent est aussi rigoureusement exécuté que le reste de la montre. Faisant écho à la fluidité de l’aiguille des secondes, la rotation continue du mobile régulateur semble imperturbable.

Un peu de poésie avec cette superbe SBGE305 dont le cadran est inspiré de la montagne Hotaka ! Au delà de la poésie, ce cadran est juste incroyable et passe du rouge soleillé au bordeaux mat en un clin d'oeil. En plus de celà, des proportions pour une plongeuse qui conviennent à mon poignet de poulet et surtout un équilibre bien respecté. Le mouvement n'est pas en reste avec le fameux Spring drive de la maison nippone. Et oui, Grand Seiko sait aussi faire des montres sportives !

Cette montre Grand Seiko acquise récemment lors d'un voyage au Japon. Elle se distingue par son cadran bleu foncé d'une profondeur fascinante qui capte la lumière sous différents angles, créant des reflets subtils et élégants ainsi que sa carrure coupée à la serpe. Sa simplicité est sa force : trois aiguilles alimenté par le calibre Quartz 9F, rien de plus, pour une lisibilité parfaite et un design épuré. Les finitions, d'une précision sans égale, révèlent l'excellence de l'horlogerie japonaise, où chaque détail est soigné à la perfection. Avec un tel niveau de qualité à un prix abordable, cette montre incarne l'essence même de la haute horlogerie accessible, alliant raffinement et précision.

Cela faisait longtemps que Cette montre me fascinait. Ne l’ayant vue uniquement sur des photos, j’avais hâte de la tenir en main. C’est lors d’un séjour à Paris que j’ai pu l’admirer en vrai dans la boutique place Vendôme. Ça a été le coup de foudre. Son cadran étincelant est d’une beauté rare. Selon l’éclairage il passe du blanc au gris et rose subtile. Le mouvement Spring drive laissant passer les secondes dans un flux continu est captivant et apaisant.

Un peu de poésie avec cette superbe SBGE305 dont le cadran est inspiré de la montagne Hotaka ! Au delà de la poésie, ce cadran est juste incroyable et passe du rouge soleillé au bordeaux mat en un clin d'oeil. En plus de celà, des proportions pour une plongeuse qui conviennent à mon poignet de poulet et surtout un équilibre bien respecté. Le mouvement n'est pas en reste avec le fameux Spring drive de la maison nippone. Et oui, Grand Seiko sait aussi faire des montres sportives !