Cela faisait un bout de temps que je voulais vous présenter cette nouvelle Omega Seamaster Diver 300M Édition 007 "No Time To Die" Je l'ai acheté avec le bracelet type mesh en titane mais je dois reconnaitre que sur celle-ci je la préfère avec un bracelet NATO ton sur ton... qui la rend encore plus légère. Et oui, la légèreté est l'un des trucs qui m'a le plus séduit au delà de ses couleurs pastels qui la différencie franchement des autres Seamaster Diver 300M... C'est ma deuxième Omega Seamaster issue d'un James Bond après la Seamaster 300 "Spectre" plus discrète. J'ai pris goût à la marque et aux Seamaster et je dois constater une précision fantastique des deux modèles, plus encore celle-ci avec la certification METAS ou Master-Chronometer (ne sachant pas si cela veut dire la même chose). Les gravures au dos sont vraiment sympas et la petite flèche sur le cadran - symbole des armées britanniques - renforcent son côté singulier, différent et exceptionnel - en tous cas pour moi. Je l'ai acheté neuve pour une fois juste en dessous de 10000 euros et elle coûte maintenant 11000 soit une belle augmentation... J'avais hésité à l'époque car je la trouvais un poil chère et pas sûr que je l'achèterais à 11000 🧐 En tous cas, c'est une montre que je porte avec beaucoup de plaisir quelles que soient les conditions et mon activité... Une montre polyvalente - pas de plus discrète certes ! - avec un bout de projection au poignet de Daniel Craig et de No Time To Die, sans doute, le meilleur James Bond de ces dernières années...

J'éprouve une certaine forme de tranquillité à posséder mon Omega Seamaster Diver 300M. Elle est une fidèle alliée dans les aventures du quotidien et les imprévus de la vie, au cours desquels elle ne me laisse jamais tomber ! (Et réciproquement !) Sa robustesse n'est plus à démontrer. Bien que prenant soin de ma plongeuse, il lui arrive parfois d'affronter ça et là coins de meubles, rochers, bagues de ma femme et aspérités du quotidien, qu'elle continue de surmonter avec vaillance. La qualité du verre saphir la rend quasiment inrayable, tandis que son cadran d'un noir profond et envoûtant (jusqu'aux tréfonds des abysses ?) contraste avec le caractère clair et lumineux des index. La visibilité est excellente. A y réfléchir un peu, j'y vois presque une explosion de feux d'artifice dans la nuit noire, ou bien la lumière d'une baudroie des abysses ! J'aime son caractère profond, sans les vagues des toutes dernières versions que je trouve moins réussies. Après tout, ne dit-on pas "Less is more" ? Le guichet-date à 3h (de couleur noire) s'intègre très bien dans le cadran sans dénaturer son harmonie. Les aiguilles glaives-squelettes sont particulièrement bien lisibles et agréables à regarder, tandis que le bout vermeil de la trotteuse rappelle l'applique "Seamaster" du cadran : le contraste primaire "noir / blanc / rouge" n'en est que plus simple et percutant. On retrouve des cercles, des triangles (extrémité de l'aiguille des minutes) et des rectangles dans une ode à la géométrie. La forme de la lunette en vagues m'évoque la barre d'un navire, elle est à la fois précise et maniable, parfaite pour mesurer un intervalle de temps à la minute près. La robustesse du boîtier et la complémentarité des fonctionnalités lunette / date font de cette Seamaster Diver 300M une montre particulièrement pratique au quotidien. Son diamètre de 41 mm (47 mm corne à corne) pourrait la faire passer pour une costaude, il n'en est rien. Elle s'adapte en réalité très bien à un poignet moyen, le travail sur la courbure des cornes et la naissance du bracelet la rendent bien moins épaisse qu'il n'y parait. Son épaisseur de 13 mm lui permet de se glisser facilement sous une manche de chemise ou un pull. Elle s'accommode fort bien de son bracelet acier déployant d'origine que je qualifie de très bonne facture et d'un confort rare. Sa rallonge de plongée lui permet d'être mise ou enlevée rapidement et simplement, et c'est loin d'être anecdotique pour ceux qui ont de larges paluches. Son passage sur un bracelet NATO lui apporte immédiatement un côté maritime et estival de très bon aloi, et elle encaisse évidemment sans problème une baignade dans le Pacifique, une plongée en Méditerranée ou de simples longueurs dans une piscine. Son adaptabilité stylistique lui permet d'évoluer dans différents registres vestimentaires casual, smart-casual et business-casual... Voire même business formal pour les plus téméraires d'entre ceux qui voudraient casser les codes à la manière de 007 ! (Bien que je ne m'y risquerais personnellement pas, par respect des codes d'élégance masculine. N'est pas James Bond qui veut...) A moins de porter un costume complet toute la semaine, c'est un "daily" incroyable. Si j'hésite entre plusieurs montres avant d'attaquer ma journée, c'est à coup sûr elle qui sera l'heureuse élue du jour. Sa déviation journalière est mesurée à +1 sec/jour à +2 sec/jour, pour une déviation mensuelle inférieure à la minute. Une dérive largement tolérable, l'ajustement de l'heure peut ainsi être réalisé tous les deux mois (voire 3 mois après juillet / août / septembre) avec le remise à 1 de la date. La Seamaster Diver 300M est à mes yeux percutante, dans une explosion de simplicité (et non de simplisme) et d'émotion. C'est une fantastique montre à porter au quotidien. Adjectifs qui la qualifient : adaptable - lisible - simple - pratique

Omega Seamaster idéale pour les personnes au petit poignée avec sont 36mm de diamètre et sont cornes a cornes de 44mm. Avec sont cadran typique des seamaster 300 en forme de vagues elle est a la fois sportive et passe partout. Elle a beau avoir 20ans elle fonctionne parfaitement avec sont mouvement automatique. Le luminova aussi est performant malgré sont âge.

Quel destin aurait eu cette montre sans le James Bond de mon enfance, aka Pierce Brosnan ? La question n'est pas vite répondue. Au-delà de sa bondesquerie, cette montre a beaucoup de qualités. Commençons par le boitier : bien équilibré pour une 41mm avec une épaisseur record de moins de 11.5mm, ses belles anses lyre, et son alternance poli/brossé. Le boitier se pose très bien même sur petit poignet grâce à son corne à corne de 47.5mm. La "verrue" à helium fera débat, personnellement elle ne me dérange pas plus que ça. Mouvement COSC très précis et très fiable. Cadran à vaguelettes discrètes, visibles selon certains angles avec des reflets bleu/gris du plus bel effet. Index peints esprit vintage. Lunette à la police délicieusement surannée. Bracelet très identitaire et qualitatif. Quelques défauts : le bracelet qui ne s'affine pas et qui fait un peu pataud, une lunette très glissante faite pour les plongeurs de bureau, et un ou deux mm de trop en diamètre à mon goût. Cette montre reste dans des budgets assez abordables à environ 2 500€, surtout comparée à sa concurrente évidente, la 14060. Autre caractéristique importante : elle est visuellement très changeante selon la lumière du jour : selon si la lumière se reflète dans les aiguilles et en terme de couleur de cadran (du bleu intense à froid). Il me tarde de voir l'insert se patiner...