Bonjour à tous ! Je m’appelle Tom, j’ai 22 ans et je suis passionné par l’horlogerie depuis aussi longtemps que je m’en souvienne. Aujourd’hui, je suis content de vous parler d’une pièce qui me tient particulièrement à cœur, la Direnzo DRZ 02R. Dès le premier coup d’œil, j’ai été séduit. Elle mélange à la perfection le vintage et le contemporain, un équilibre vraiment bien dosé. Elle m’a tellement marqué que je me suis débrouillé pour contacter le fondateur et m’en offrir une ! Ce qui m’a bluffé, c’est sa capacité à faire cohabiter l’ancien et le moderne de façon naturelle. Son cadran, avec son double fond, crée une profondeur subtile. Les arcs de cercle qui forment les repères horaires sont assez uniques, et la montre change carrément d’aspect dans l’obscurité, c’est un peu comme si on portait une montre différente dans le noir. Ce que j’aime aussi, c’est qu’elle n’a rien de tape-à-l’œil ou trop sophistiqué. Son charme réside vraiment dans son design épuré et précis. Chaque détail semble réfléchi, rien n’est laissé au hasard. Comme c’est une édition limitée, il sera difficile d’en trouver une aujourd’hui. Mais je vous conseille malgré tout d’aller jeter un œil à leur site. Merci, Tom.

Encore une montre acquise en prévente sans l’avoir essayée… Et encore une impression de plaisir supérieure à celle éprouvée en observant des heures durant les alléchantes photos avant de sauter le pas en juillet dernier, ouf ! Et je ne crains pas de m’en lasser (même si c’est un peu tôt pour conclure). Une réussite esthétique indéniable ! Un grand bravo au designer pour cette montre si belle, originale et audacieuse. Le croisement des courbes est subtil et magnifique, et quel profil creusé et souligné de chanfreins polymiroir ! Que dire du cadran sandwich aux reflets versatiles, et aux rebords délicatement incurvés… sans oublier les aiguilles façon tour Eiffel ! Ma crainte sur le rendu du bracelet ‘’opulent’’ est estompée, il s’intègre très bien et n’alourdit pas visuellement la tocante au porté. En revanche, il contribue sans doute à l’alourdir : 146gr tout de même en dépit de plusieurs maillons ôtés. C’est sans doute ici son défaut majeur, même si le poids est bien réparti et que cela ne gêne pas vraiment au quotidien (l’essentiel !). Pas forcément fan de complication date, j’ai pourtant pris cette version pour apprécier l’aiguille des secondes lollipop l’occulter une seconde toutes les 60 (éclipse qu’on retrouve sur d’autres modèles de la marque) ! Le mouvement SW200 élaboré est impeccablement réglé. Les caractéristiques générales répondent à mon cahier des charges : diamètre de 39, corne à corne de 44, épaisseur de 11.3, verre AR saphir (yc fond), étanchéité 100m évitant tout soucis d’utilisation… Le puissant luminova rend superbement. J’apprécie enfin la résistance accrue du boitier et du bracelet (chocs et rayures) via un revêtement supplémentaire pour une dureté HV800. Le tout pour un tarif inférieur à 1000€ (toutes taxes comprises) pour cette swiss made. Que demander de plus ? Sans doute une image de marque à bâtir, comme toutes les micro-marques dont on peut d’emblée admirer le courage et la persévérance de se lancer dans cet univers compétitif et passionné/ant ! Excellente tendance pour Direnzo qui poursuit depuis 2017 son ascension avec mérite et succès, congratulazioni !

Rien ne laisse indifférent sur cette montre. Le cadran incurvé, le design des index et des aiguilles. Puis le boîtier bien sûr avec ses flancs creusés ; une forme de galet mais qui reste hyper confortable au poignet. Enfin le bracelet qui sublime le tout en épousant le boîtier à la perfection, avec de belles parties polies pour réveiller

Direnzo c’est avant tout un nouveau langage ! L’Aerolite (DRZ02r) se présente dans un boîtier original, alternant finitions brossées et chanfreins polis sur les côtés concaves ! Ce dernier met en valeur un cadran aussi concave, avec des indexes sandwichs agencés de façon unique. Les aiguilles fines et tout aussi spéciales sont lumineuses, tout comme les indexes, grâce à une application généreuse de BGW9. Une fois par minute, le cercle de l’aiguille des secondes éclipse complètement la date. La couronne est agréable à manier. Le bracelet en Y avec une finition principalement brossée, spécialement créé pour cette montre, présente une partie centrale polie. Celle-ci est légèrement en retrait et la protégeant ainsi. D’ailleurs l’ensemble des composantes en acier est revêtu d’une protection contre les égratignures. Le bracelet semi-integré prolonge élégamment les lignes rétro-futuristes du boîtier. Tres confortable au poignet et offrant une belle présence. Enfin, le calibre Sellita SW-200-1 Elaboré avec protection anti-shock qui l’anime, offre précision, durabilité et un mouvement fluide de l’aiguille des secondes. Vous l’aurez compris, j’adore cette création de Sergio G. Di Renzo. Ses exclusivités sont abordables et uniques. Elles mettent à la portée de presque tous des montres au design raffiné et de fabrication Suisse.