Avis Seiko Prospex : Agressive, hypnotique et extravagante

Punaise, encore une plongeuse, et encore une SEIKO… Dire qu’au départ, je n’étais pas fan des plongeuses… Pour ma 4ème plongeuse SEIKO, je (re)cherchais une version PADI (Professional Association of Diving Instructor) : ah, le marketing… Par contre, comme je n’apprécie ni les complications jour-date, ni les cyclopes, pas évident d’en trouver une à mon goût. Aussi, quand la nouvelle collection est sortie à l’été 2023, avec la version SPB375J1 sans jour-date ni cyclope, j’ai su qu’elle était pour moi… Dans un boîtier costaud de 45 mm, dit Sumo, elle ne passe pas inaperçue C’est vraiment ce que je recherchais, une montre bodybuildée. Si j’avais eu les moyens, j’aurais pris une OMEGA SEAMASTER ULTRA DEEP PLANET OCEAN étanche à 6000 m, mais à plus de 14 k€, la SEIKO fera l’affaire ! Ce qui fait tout le charme de cette SEIKO, c’est encore et toujours ce cadran, superbe, qui « simule » les reflets de la surface de l’eau, et le dégradé de bleu, du bleu profond des abysses au bleu ciel de la surface éclairée par le soleil… Mes photos ne rendent pas hommage, mais c’est à tomber ! Pour la mécanique, encore ce 6R35 qui tourne bien, avec une bonne autonomie, mais une précision qu’on aurait aimé meilleure. La dérive est de l’ordre de 15 s de retard par jour, dans les tolérances de la marque. Voilà, c’est ma montre WTF, la plus grosse, qui ne passe pas inaperçue !