Vacheron constantin Overseas 1ère génération (1996-2004) midsize (35 mm), sigma dial (tritium) cadran finition sunray bleu, deuxième version du bracelet avec la croix de malte plus petite et fermeture "papillon" que je préfère personnellement. La montre est équipée du calibre Girard-Perregaux 1310 automatique ultra plat, cerifié COSC. Il en résulte une montre d'une finition irréprochable et d'un confort au porté vraiment très agréable, sport chic par excellence et donc utilisable en quasi toutes circonstances de la vie courante. Dans cette gamme de prix, à ma connaissance il n'y a pas d'équivalent avec cette qualité de finition , et si on compare aux Overseas récentes que j'ai essayé, la qualité est au moins aussi bonne, pour un prix quasi deux fois moins élevé globalement... Pour la taille si vous avez des petits poignets comme moi (14,5-16,5 cm) la midsize est idéale (équivalent à une Datejust vintage 1601 par exemple) , sinon optez pour la 37 mm. Il existe une version Lady également en 24 mm.

Au hasard d’un passage en boutique, charmé par l’essayage d’une Overseas cadran Silver, j’aime les montres sportives. Un numéro de téléphone laissé à tout hasard, ça n’engage à rien… et puis un coup de fil sept mois plus tard ! La 3 aiguilles date cadran noir mat était arrivée. Aïe. J’ai craqué. Mon entrée dans la Sainte Trinité. Un nom mythique, la plus ancienne manufacture horlogère du monde, un mouvement sublime, le poinçon de Genève… totalement déraisonnable. Plus de rationalité ici. La croix de Malte est partout présente, dans le dessin de la lunette et aussi du bracelet acier. Une luxueuse sportive au confort enveloppant, qui sait se faire oublier, discrète et moins ostentatoire et identifiable que ses célèbres consœurs introuvables et quasi inaccessibles… magnifique avec son bracelet rubber. Seul regret, il n’y a pas de stop seconde. Alors que la marque le propose sur la classique Patrimony. Allez savoir…

Posséder une Vacheron Constantin est une forme de privilège; c’est porter une histoire, de la haute horlogerie et même de l’art. Cette montre associe tout cela en même temps, voire plus. Elle est présente sur le poignet tant par son poids que par son apparence, qui fait tourner le regard des connaisseurs. Ni trop tapé à l’œil, ni trop d’aspect commun, elle est l’alliance ultime du plaisir chic ou classique. Pour ma part j’ai opté pour deux bracelets : caoutchouc ou acier

Overseas, un nom qui laisse assez rêveur, on imagine de l'étanchéité, et une certaine liberté sous un beau soleil. Hop, Vacheron Constantin sort en 2016-2017 une troisième génération de cette gamme que beaucoup ont à peine entendu ici et là, sans vraiment s'y intéresser. Le marché de la seconde main s'emballe, les gens la découvrent, dont moi. Excellente nouvelle, je réussis à me procurer cette pièce neuve au prix... neuf. Directement on constate un certain nombre de comparaisons dont une qui revient sans cesse : cette montre est une équivalente aux Nautilus et autres Royal Oak. Pour ne pas les citer, 5711 et 15202. Et là, douche froide, on compare, on change les bracelets avec le système simple et très bien fait, et on se dit qu'en fait oui, les finitions sont impeccables, le mouvement est splendide et visible au travers de la vitre -meilleur mot pour qualifier le verre qui laisse entrevoir cet art. Mais en même temps impossible d'avoir la conviction d'avoir LA Nautilus de chez Vacheron ou LA Royal Oak de chez Audemars, et je me permets donc de vous faciliter la tâche : NON ! Cette montre n'est pas une concurrente à ces deux autres pièces. J'en arrive à la conclusion qu'on peut uniquement la considérer comme seule dans sa catégorie : une "daily toolwatch de super luxe" , qui serait un peu l'aboutissement de ce qu'on peut faire en terme de finitions, de ludique, de beau, de fun, et de sophistiqué en termes de design, tout en proposant un mouvement magnifiquement travaillé (coucou Submariner, on ne parle ici plus de toi). Ouf, on respire, on apprécie enfin la pièce, on comprends qu'elle peut faire office de seule pièce pour le restant de nos jours, ni trop épaisse ni trop fine finalement, bracelet intégré en acier aujourd'hui, le lendemain sur alligator, et le surlendemain sur un rubber coloré. Bref, cette montre est ce qu'on peut finalement attendre d'une grande maison comme VC qui tente l'exercice de sortir de l'esprit petit atelier caché avec des pièces traditionnelles : un bonbon acidulé en forme de... soucoupe volante diront certains ? En tout cas, n'espérez pas faire la compétition avec les copains qui possèdent les deux autres qui sont données concurrentes sur tous les forums de discussion : ils roulent en Porsche, vous en Alfa Romeo. Je vous laisse faire le rapprochement et vous interroger sur la popularité et la fréquence de visibilité des deux marques dans la vie de tous les jours. Petite touche d'avis technique hors de ma poésie improvisée : rien à dire, je l'aurais fabriquée plutôt en 40mm que 41mm, et encore, pour le reste RàS pour ma part. Cadran bleu et gris pour mes favorites. Attention à la Dual Time qui est bien plus épaisse aussi.