Discover the 4 watches in the Arnaud collection

J’ai craqué pour cette Seiko 5 pour plusieurs raisons. D’abord, son design m’a tout de suite séduit : boîtier PVD anthracite, lunette verte, cadran vert texturé et trotteuse orange... un combo qui sort clairement du lot ! Elle a un vrai look d’aventurière, plus baroudeuse que plongeuse, et c’est justement ce qui m’a plu. Le cadran texturé est sans doute ce qui m’a le plus attiré : il est vraiment superbe ! Certes, il est mat et ne joue pas avec la lumière comme un cadran soleillé ou comme certaines Grand Seiko, mais il a beaucoup de charme. Autre bon point : le prix. Pour une automatique, elle reste très accessible, ce qui permet de la porter sans trop de stress au quotidien. Bon, il faut quand même noter que le verre Hardlex ne rivalise pas avec le saphir côté résistance aux rayures… dommage. Elle est livrée sur un NATO vert qui, à mon goût, se marie parfaitement avec l’ensemble. Mon seul petit regret : le day-date à 3h. Perso, j’aurais préféré un cadran plus épuré avec un simple index à la place. Je ne la porte pas tous les jours, principalement à cause de son boîtier de 42,5 mm qui reste un peu massif pour mon poignet. Mais ça reste une super pièce dans ma collection, avec une vraie personnalité !

Dernière montre acquise, cette Omega référence 166.0173 est ma première vintage (années 70), et après quelques semaines au poignet, je l’adore ! Je ne sais même pas par quoi commencer tant il y a de choses que j’aime. Peut-être par le diamètre : 36 mm. C’est la plus petite montre de ma collection, et franchement, elle tombe parfaitement bien sur le poignet. Ensuite, sans doute le bracelet intégré (réf. 1186/215) : sans lui, le style de cette montre serait complètement différent. En plus, il est très confortable. Autre détail que j’adore : le cadran vert soleillé, qui capte magnifiquement la lumière et qui, à lui seul, donne envie de la regarder sans arrêt. Et enfin, côté esthétique, la couronne : j’adore sa taille, le logo Omega... Ça donne vraiment du charme à la montre (même si elle est un peu complexe à manipuler). Côté calibre, elle est équipée d’un Omega 1012. Pour une vintage, je trouve qu’elle tient plutôt bien l’heure, mais la réserve de marche (ou peut-être la recharge automatique) n’est pas exceptionnelle. Une révision à prévoir, peut-être ? J’ai associé à cette montre une histoire personnelle lors de l’achat, et j’avais un peu peur d’être déçu car c’était un achat coup de tête en ligne. Finalement, je suis persuadé qu’elle ne quittera jamais ma collection, et que je vais passer de très bons moments avec ! Et ça ne serait pas une Oyster Perpetual 26 verte (Ref : 126000) en plus belle ? (bon moins robuste ok !)

Par où commencer ? Relativement simple, ce cadran est tout simplement sublime et se suffit à lui-même pour faire oublier les petits défauts de cette montre ! Le relief est incroyable : il capte la lumière de manière extraordinaire, qu’elle soit artificielle ou naturelle, directe ou indirecte. De loin ou de près, de face ou de côté, il est toujours splendide ! Que dire de plus ? D’après Seiko, il évoque les magnifiques paysages du Japon en hiver. Il s’agit d’une série « limitée » sortie en 2017 à 7000 exemplaires. Ici, on a affaire à une SSA385J1, avec affichage de la réserve de marche et une date par aiguille à 6h. Il existe également deux autres déclinaisons : la SRPC97J1 avec un guichet date à 3h, et la SRP843J1, aussi avec guichet à 3h mais en format plus compact. Apprendre une référence Seiko, ce n’est pas simple… Et en plus, celle-ci a un surnom (officiel) inspiré d’un cocktail : Fuyugeshiki. Pas évident à retenir non plus ! J’apprécie énormément ce cadran, mais pas seulement. Je ne suis généralement pas fan des guichets date classiques à 3h, et là, j’adore la manière dont la date est affichée. La réserve de marche complète parfaitement l’ensemble. De plus, une fois rangée, j’aime pouvoir voir la réserve restante (41h) si je veux la remettre rapidement ! Maintenant, elle n’est pas sans défauts — sinon, ce serait une Grand Seiko ! Le bracelet d’origine en acier est, selon moi, médiocre. Je l’ai remplacé par un bracelet en cuir bleu, qui rappelle la couleur des aiguilles des complications, et que je trouve absolument parfait pour ce modèle. Autre point négatif : l’épaisseur de 14,9 mm (pour 40 mm de diamètre), c’est trop. Cela nuit à l’élégance de la montre. Elle serait tellement plus chic avec 3 ou 4 mm de moins… Mais le mouvement 4R57 y est sans doute pour quelque chose : une précision moyenne, mais une belle robustesse. Conclusion : ça donne vraiment envie de posséder une Grand Seiko, qui gommerait ces défauts ! Mais pour le prix, c’est déjà une montre exceptionnelle.

Montre acquise il y a environ 7 ans, par hasard, en la découvrant sur eBay. Il s’agit d’une édition limitée à 2000 exemplaires sortie en 2003, nommée Wings Around the World II – Voyage to the Ice. Cette montre a vu le jour grâce au sponsoring d’Oris pour Polly Vacher, une aviatrice anglaise qui a réalisé un tour du monde en solitaire entre 2003 et 2004. Son vol, à bord d’un monomoteur, avait une vocation caritative au profit de Flying Scholarships for the Disabled.Elle a survolé l’ensemble des continents, ainsi que le pôle Nord et l’Antarctique. Je possède un modèle bicolore (acier et, je pense, placage or rose), qui semble beaucoup plus rare que la version entièrement en acier. La montre en photo n’est pas sur son bracelet en cuir d’origine. Après plusieurs années d’utilisation, celui-ci a fini par rendre l’âme. Je l’ai remplacé par ce bracelet acheté sur Etsy, qui, je trouve, s’accorde parfaitement avec la montre. Côté technique, elle affiche une épaisseur de 12 mm, un boîtier de 40 mm de diamètre (44 mm avec la couronne) et elle est équipée d’un calibre Oris 654, basé sur l’ETA 2824-2 (probablement modifié uniquement pour la gestion de la date via l’aiguille). Une superbe montre que j’apprécie toujours autant au fil des années !