Discover the 5 watches in the free k collection

Punaise, encore une plongeuse, et encore une SEIKO… Dire qu’au départ, je n’étais pas fan des plongeuses… Pour ma 4ème plongeuse SEIKO, je (re)cherchais une version PADI (Professional Association of Diving Instructor) : ah, le marketing… Par contre, comme je n’apprécie ni les complications jour-date, ni les cyclopes, pas évident d’en trouver une à mon goût. Aussi, quand la nouvelle collection est sortie à l’été 2023, avec la version SPB375J1 sans jour-date ni cyclope, j’ai su qu’elle était pour moi… Dans un boîtier costaud de 45 mm, dit Sumo, elle ne passe pas inaperçue C’est vraiment ce que je recherchais, une montre bodybuildée. Si j’avais eu les moyens, j’aurais pris une OMEGA SEAMASTER ULTRA DEEP PLANET OCEAN étanche à 6000 m, mais à plus de 14 k€, la SEIKO fera l’affaire ! Ce qui fait tout le charme de cette SEIKO, c’est encore et toujours ce cadran, superbe, qui « simule » les reflets de la surface de l’eau, et le dégradé de bleu, du bleu profond des abysses au bleu ciel de la surface éclairée par le soleil… Mes photos ne rendent pas hommage, mais c’est à tomber ! Pour la mécanique, encore ce 6R35 qui tourne bien, avec une bonne autonomie, mais une précision qu’on aurait aimé meilleure. La dérive est de l’ordre de 15 s de retard par jour, dans les tolérances de la marque. Voilà, c’est ma montre WTF, la plus grosse, qui ne passe pas inaperçue !

Les SEIKO Prospex édition spéciale (mais non limitée) Save the Ocean m'ont bluffé à leur sortie, en juin 2022. Les 3 modèles, respectivement hommages des plongeuses SEIKO de 1965 (la fameuse 62MAS), de 1968 (première SEIKO fonctionnant à 5 Hz et étanche à 300 m) et de 1970 (la fameuse turtle) présentent des cadrans texturés somptueux, évoquant chacune une nuance différente des glaces de nos pôles, du bleu profond au blanc, en passant par le bleu ciel. Après les avoir essayées, le plus dur a été pour moi de choisir. Mais comme l'adage dit que, quand on aime, on ne compte pas, je me retrouve finalement à posséder les trois... ;-) Le choix était trop difficile et toutes se devaient de se retrouver à mon poignet. Sur ce modèle (SPB299J1), c’est toujours le mouvement 6R35, qui présente une bonne autonomie de 70 heures, et une bonne précision. Aussi facile à porter que sa petite sœur (SPB297J1), elle s’en distingue néanmoins avec son cadran texturé bleu ciel du plus bel effet, sa trotteuse « pelle à tarte » et sa couronne à 4 heure. J’aime quasiment tout sur cette montre, je n’ai vraiment pas grand chose à lui reprocher. Certains diront ou penseront qu’au prix des trois, j’aurais pu avoir une TUDOR. Moi, je me dis qu’au prix d’une TUDOR, j’ai eu trois montres que j’adore… 😂

Sous ce célèbre slogan que les plus jeunes n’auront pas reconnu (pub Clio des années 90) se cache cette SEIKO SHARP EDGED qui se rapproche, sous bien des aspects, d’une GRAND SEIKO… Sortie en 2020, en plein Covid, je l’avais essayé chez un bijoutier, avant de me retrouver à nouveau confiné. C’est donc par le biais du site internet de SEIKO que j’ai pu faire son acquisition. Le boîtier, assez classique, présente des surfaces polies, des arêtes brossées, et une lunette polie : ça claque ! Mais ce qu’on aime le plus sur ces éditions SHARP EDGED, c’est ce cadran texturé « feuilles de chanvre » (motif japonais Asanoha) : c’est du plus bel effet. Il prend bien la lumière, passant d’un superbe bleu avec de la lumière, à un noir profond en son absence. Le fond de boîte transparent laisse apercevoir le mouvement 6R35, relativement quelconque niveau finitions. Par contre, il présente une bonne autonomie de 70 heures et une bonne précision. Elle aurait pu être parfaite sans LumiBrite, qui n’apporte rien sur ce genre de montre.

Les SEIKO Prospex édition spéciale (mais non limitée) Save the Ocean m'ont bluffé à leur sortie, en juin 2022. Les 3 modèles, respectivement hommages des plongeuses SEIKO de 1965 (la fameuse 62MAS), de 1968 (première SEIKO fonctionnant à 5 Hz et étanche à 300 m) et de 1970 (la fameuse turtle) présentent des cadrans texturés somptueux, évoquant chacune une nuance différente des glaces de nos pôles, du bleu profond au blanc, en passant par le bleu ciel. Après les avoir essayées, le plus dur a été pour moi de choisir. Mais comme l'adage dit que, quand on aime, on ne compte pas, je me retrouve finalement à posséder les trois... ;-) Le choix était trop difficile et toutes se devaient de se retrouver à mon poignet. Le mouvement 6R35 de cette « turtle » (SPB301J1) présente une bonne autonomie, mais est moins précis que sa petite sœur (SPB297J1), pour celles que j’ai : c’est une histoire de chance… J’aime ce cadran texturé blanc, et la lunette rainurée bleue, dans ce boîtier asymétrique et atypique. J’aime moins la précision, qui dérive d’une vingtaine de seconde par jour, dans les tolérances de la marque et du mouvement. Cette montre est plutôt masculine, et ne conviendra pas forcément à tous les poignets ! Poignets de poulet, s’abstenir (à mon avis).

Les SEIKO Prospex édition spéciale (mais non limitée) Save the Ocean m'ont bluffé à leur sortie, en juin 2022. Les 3 modèles, respectivement hommages des plongeuses SEIKO de 1965 (la fameuse 62MAS), de 1968 (première SEIKO fonctionnant à 5 Hz et étanche à 300 m) et de 1970 (la fameuse turtle) présentent des cadrans texturés somptueux, évoquant chacune une nuance différente des glaces de nos pôles, du bleu profond au blanc, en passant par le bleu ciel. Après les avoir essayées, le plus dur a été pour moi de choisir. Mais comme l'adage dit que, quand on aime, on ne compte pas, je me retrouve finalement à posséder les trois... ;-) Le choix était trop difficile et toutes se devaient de se retrouver à mon poignet. Le mouvement 6R35 fonctionne parfaitement, avec une bonne autonomie, et une très bonne précision, largement niveau COSC. La première acquise, la SPB297J1, je ne m'en lasse pas : la 62MAS a toujours été mon modèle de plongeuse préféré, ex-aequo avec la Superman de YEMA. Avec un cadran pareil, c'était sûr qu'elle ferait mouche !