Discover the 6 watches in the Fabrice Genève collection

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6 reviews

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5

92

Breitling Navitimer Cosmonaute Flyback

4.3

Pour ma collection, je cherchais une montre d’aviation. Mon choix s’est vite porté sur un modèle emblématique: la Navitimer! J’ai d’abord étudié très longtemps tous les modèles car il y en a une pléthore. Il était alors difficile de faire un choix. Les nouveaux modèles sont très réussis mais je préférais dénicher une perle rare sur le marché de seconde main, une version unique de cette montre iconique. J’ai resseré mes recherches sur le modèle Cosmonaute pour plusieurs raisons. D’abord parce que c’est un modèle qui a une histoire fascinante. C’est le premier chronographe suisse qui a voyagé dans l’espace grâce à Scott Carpenter. Et c’est lui même qui a demandé à Breitling un cadran sur 24h afin de distinguer le jour de la nuit dans l’obscurité de l’espace. Cette spécificité me plaît car ça la rend originale et lisible qu’aux seuls initiés. D’autre part, cela rend les index plus serrés. Alors oui, c’est chargé, mais moi j’adore ça! Impossible de s’ennuyer en la regardant! Et parmi les modèles de Cosmonautes, cette référence a encore 2 trucs en plus. Premièrement, le guichet date qui n’était pas présent sur le modèle original et deuxièmement, le chronographe est muni d’une fonction flyback. Le cadran et un “reverse panda”, fond noir et sous-cadrans blancs, avec des accents de rouges à la fois sur la pointe de la trotteuse ainsi que sur les deux échelles de la règle à calcul. À midi on retrouve le logo Breitling “Ailes et Ancre” ainsi que les mentions “Chronomètre” et “Automatic” qui attestent que le mouvement est certifié COSC. Ce dernier est un mouvement Breitling Cal. 22 sur une base ETA 2892 modifiée avec un module flyback Dubois Depraz. Les aiguilles sont de type bâton effilées avec un revêtement luminescent et l’aiguille du chronographe a une pointe de flèche rouge et un contrepoids en forme du logo Breitling “B avec ancre”. Sur le fond de boîte, on retrouve le logo Breitling “Ailes et Ancre” ainsi qu’une échelle de conversion Celsius-Farenheit, petit détail que je trouve fort intéressant. Enfin, ce modèle est équipé d’un bracelet pilote à 7 mailles emblématique de la marque. Je le trouve très agréable à porter car il épouse parfaitement le poignet mais c’est une galère pour l’ajuster soi-même. Autre point négatif, le fermoir que je trouve difficile à ouvrir et pas pratique à l’usage. La spécificité de la Navitimer est bien entendu sa règle à calcul et quand on sait s’en servir, c’est un réel plaisir de l’utiliser. Outre les multiplications et les divisions, elle permet d’effectuer des règles de 3, de calculer des pourcentages, de convertir des Miles en Kilomètres ou des Francs suisses en Dollars américains. Sur ce modèle, il y a même une deuxième échelle pour les conversions de minutes en heures, ce qui est assez pratique. Pour ce qui est du négatif, je suis assez déçu par la qualité du mouvement. Je dois avouer que la fonction flyback ne fonctionne pas toujours, même en étant bien remontée et même après la révision effectuée chez Breitling. Le SAV de la marque laisse à désirer. Je trouve également que le chrono manque de vitesse de réaction. C’est probablement dû à ce mouvement modifié. Pour finir, mon avis sur la marque Breitling: C’est une marque qui me fait rêver. On lui associe le monde de l’aviation, de l’aventure et des exploits, notamment le tour du monde en ballon. Georges Kern a su redynamiser cet héritage et lui donner un look retro-chic-décontracté qui plaît aux jeunes. Specs: Cadran 24 heures, Lunette bidirectionnelle avec règle à calcul, Chronographe avec fonction flyback, petites secondes à 3 heures, date à 4 h 30. Diamètre: 41,5mm Epaisseur: 14,4mm Réserve de marche: 42 h Année: 2007-2011 Réf: A22322 Profondeur: 30 m Boîte en acier Glace saphir Mouvement automatique Breitling Cal. 22 (base ETA 2892 et module flyback Dubois Depraz) certifié COSC

a month ago

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6

1,382

Tissot T-Touch Connect Sport: une vraie hybride

4.2

J’avais d’abord été tenté par la T-Touch Connect Solar mais son diamètre imposant (47 mm) était rédhibitoire. Ainsi, lorsque la marque a sorti ce nouveau modèle dans une taille plus contenue, je n’ai pas hésité longtemps avant de l’acquérir. Par rapport aux anciens modèles, on constate que le design de cette version est beaucoup plus épuré. Le cadran noir comporte juste des index et les indications des minutes se trouvent sur la lunette en céramique. Le boîtier est en titane et alterne avec des bords polis et brossés du plus bel effet. Les aiguilles sont à moitié squelettées et munies d’un revêtement Super-LumiNova pour une visibilité optimale dans l’obscurité. J’ai choisi la version avec le bracelet en titane. Étonnamment léger, celui-ci comporte des maillons polis et brossés, ce qui lui donne un aspect distingué. Cependant, il a tendance à se rayer facilement. Le gros point positif est la possibilité d’effectuer des micros-ajustements sur la boucle, très utiles lorsque le poignet gonfle sous la chaleur. Enfin, on peut le changer assez facilement. J’ai donc également opté pour un bracelet noir en caoutchouc. La glace saphir est annoncée comme inrayable mais a le défaut d’être particulièrement sujette aux traces de doigts. L’écran tactile permet désormais d’effectuer des balayages mais ça n’est pas toujours très réactif, il est souvent plus facile d’utiliser les boutons poussoirs. Je trouve que l’utilisation de la montre et l’organisation des menus ne sont pas très intuitifs. Contrairement à une Apple Watch où tout est logique et direct, il faudra ici passer par plusieurs sous-menus pour des actions simples ou lire le manuel pour comprendre des manipulations que l’on ne peut pas deviner. L’affichage de base de l’écran digital affiche le jour, la date et le nombre de pas. j’aurais préféré à la place l’heure digitale ou la possibilité de pouvoir choisir l’option que l’on préfère. Dans des conditions où on ne voit pas bien les aiguilles, si on veut voir l’affichage de l’heure digitale, on doit la chercher enfouie dans des sous-menus. ça n’est vraiment pas pratique. Tout comme pour lancer un chrono ou une alarme, il aurait été préférable de pouvoir le faire plus directement en réduisant le nombre de manipulations nécessaires. Descendante de la famille T-Touch, on peut regretter que cette version abandonne des options qui faisaient sa marque de fabrique, comme la boussole, l'altimètre et le baromètre. Ayant testé les fonctions d’activité, j’ai pu remarquer que les indications étaient plutôt approximatives (notamment la distance parcourue ou le dénivelé). De plus, le nombre de fonctions est relativement réduit. Une Apple Watch, par exemple, offre bien plus de possibilités, sera bien plus performante, plus intuitive et à un prix trois fois moins élevé. Mais ça n’est pas ce que l’on demande à cette T-Touch Connect Sport. Car elle, c’est d’abord une vraie montre munie de 3 vraies aiguilles. C’est une belle pièce d’horlogerie helvétique traditionnelle que l’on a dopée avec de la technologie moderne. Son autre point fort, c’est sa réserve de marche. Fonctionnant à l’énergie solaire, sa batterie est quasiment illimitée en mode non-connectée et peut tenir 6 mois avec une utilisation normale. Soyons clairs, cette montre est destinée à un public cible de niche. Les sportifs ayant besoin d’une smartwatch se tourneront vers d’autres modèles bien plus performants et beaucoup moins chers. Elle s’adresse plutôt à des personnes qui recherchent d’abord une belle montre. Personnellement, je la trouve parfaite pour les voyages, quand on veut qu’une seule montre passe-partout. La journée, elle permet de mesurer son activité (sa distance parcourue, etc.) et recèle d’autres fonctions utiles comme les notifications. Le soir, elle peut faire un peu habillée sans pour autant être trop tape-à-l’oeil. Et le gros avantage, c’est qu’il n’y a pas besoin de la recharger! Specs: Calendrier perpétuel, Alarme, Heure, Fuseaux horaires, Heure d'été automatique, Chronographe, Chrono avec fonctions temps intermédiaire (SPLIT), Chrono tour (journal), Journal de bord chrono, Compteur de pas, Calories brûlées, Distance parcourue, Notifications, Alertes de connexion, Mode Eco, Mode veille automatique, vitesse, rythme, fréquence cardiaque, gain d'altitude, altitude, appels entrants, alertes de déplacement Diamètre: 43.75 mm Epaisseur: 13.5 mm Réserve de marche: 42 h Année: 2024 Réf: T1534204405100 Profondeur: 50 m Boîte en titane antimagnétique Lunette en céramique Glace saphir tactile inrayable Mouvement à quartz solaire

7 months ago

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6

360

néo-vintage poétique

3.5

C’est la première montre à complications que je me suis offerte à l’occasion de la sortie de mon premier livre. À l’époque, je ne connaissais encore pas grand-chose à l’horlogerie à part les marques les plus connues. Je pensais d’abord m’offrir une Tissot squelettée à remontage manuel mais j’avais vu dans le magasin que pour le même prix, je pouvais avoir d’autres complications en plus, comme la date et la phase de lune. C’est cela qui m’a fait craquer pour cette Frederique Constant Classic Heart Beat Moonphase. Le boîtier est en acier plaqué or jaune. Son cadran argenté est agrémenté d’un motif clous de Paris, ornementation obtenue par guillochage qui a la forme de têtes de clous pyramidales avec entre chaque clou des petits sillons. Il est partiellement squeletté avec une ouverture ronde à 12 heures que l’on appelle “Heart Beat” et qui permet, comme son nom l’indique, de voir le battement de cœur de la montre. À 6h, on retrouve un guichet de phase de lune. Les index sont munis de chiffres romains imprimés et les aiguilles sont de type Breguet, reconnaissables à leur petits ronds évidés de manière excentrique. Le fond de boîte est ouvert et permet de voir son rotor avec finitions Côtes de Genève, fameux motif composé d’une série de stries ondulées. Enfin, le bracelet est en cuir de veau avec motif crocodile. Le point fort de cette montre est son rapport qualité-prix. Il est rare de voir autant de complications dans cette gamme de prix. Son côté vintage est plaisant mais peut faire un peu vieillot. Ce n’est pas une montre que l’on peut porter en toutes occasions. Côté négatif, je déplore l’imprécision des index. Il y a bien un chemin de fer circulaire mais qui ne correspond pas aux minutes. De plus, l’inscription des dates tout autour du cadran ainsi que son pointeur peut porter à confusion avec les minutes. specs: Heures, minutes, secondes, pointeur de date, phase de lune, Heart Beat Diamètre: 40 mm Epaisseur: 10 mm Réserve de marche: 38 h Année: 2017 Réf: FC-335MC4P5 Profondeur: 60 m

8 months ago

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5

512

Changement d'avis...

4.3

Il y a déjà de nombreux avis sur cette Blackbay GMT mais le mien peut être intéressant car à la base, elle ne m’attirait pas du tout. Pas vraiment fan de montres de plongée, j’en voulais quand même une pour ma collection. Je recherchais un modèle plutôt classique avec complication GMT et lunette bicolore. J’ai d’abord essayé un modèle d’entrée de gamme, une Mido OCEAN STAR GMT, mais je n’ai pas été convaincu. Le remontage et le réglage des aiguilles me paraissaient mous et l’ensemble de la montre manquait de qualité. Évidemment, je connaissais aussi la gamme des Blackbay de Tudor mais je n’aimais pas vraiment leur design et les trouvais un peu chères. À vrai dire, je ne comprenais pas toute cette hype autour de la marque parmi les amateurs d’horlogerie. Ce n’est que lors d’un achat d’une autre montre (voir avis Montblanc Heritage Chronométrie) dans une boutique de seconde main que j’en ai profité pour essayer un modèle exposé. Et là, je dois avouer qu’en la portant, mon regard à radicalement changé. C’est probablement le fait d’avoir essayé un modèle d’entrée de gamme au préalable qui m’a fait apprécier la qualité de fabrication de cette Tudor. Tout, sur cette montre, transpire la robustesse et la fiabilité. Quand on la passe au poignet, on devient un autre homme. La qualité de l’engin procure une assurance naturelle à quiconque la porte. Le modèle à fond noir permet de mettre en valeur le poli mirroir des aiguilles snowflakes, caractéristiques de la marque au bouclier. Celles-ci se déplacent harmonieusement, les flocons se croisent sans obstruer la vue afin de garantir une lisibilité à toute épreuve. Elles sont mues par un mouvement Manufacture, Calibre MT5652, garantissant 70h de réserve de marche et certifié COSC. La boîte est brossée sur le dessus et polie sur les côtés. Je trouve ce choix judicieux pour lui donner une certaine classe sans que ça soit clinquant quand on regarde le cadran. Ce dernier est surmonté d’une lunette bidirectionnelle et bicolore typique des montres GMT. Les tons se situent au croisement d’une “Pepsi” et d’une “Coca”. On est sur un bleu très foncé qui peut paraître noir selon la lumière et un rouge plutôt grenat. Permettant de lire un troisième fuseau horaire, la tourner est un réel plaisir. Ses cliquetis sont chantants et sa fluidité est sans faille tout en garantissant une certaine fermeté. On sent qu’on peut la manipuler à l’infini sans l’user. Ornée de l’emblématique rose Tudor, la couronne vissée inspire la robustesse. Cela dit, une fois dévissée, elle révèle son côté plus soyeux. Le remontage est très doux tout en étant ferme à la fois. Au premier cran, la couronne permet de régler l’heure locale sans arrêter la trotteuse ni l’aiguille des minutes. Cette option “jumping hour” que l’on retrouve sur les “true GMT” est très pratique lorsque l’on change de fuseau horaire ou d’heure d’été à heure d’hiver. De nouveau, cela se fait ici de manière très fluide tout en ressentant la franchise des crans et c’est un vrai régal. Un autre point positif de cette montre est la possibilité de changer de bracelet. J’en ai eu deux à l’achat, un Nato bicolore de très bonne facture, idéal pour l’été, et un hybride caoutchouc-cuir très confortable et plus habillé. Celui-ci est muni d’une élégante boucle déployante mais le détail que j’apprécie le plus est le fermoir, poli et brossé, qui reprend le logo de la marque, le fameux bouclier Tudor. Pour ce qui est des points négatifs, certains noteront une certaine épaisseur mais personnellement, cela ne me gêne pas, je trouve que ça fait partie de ce style de montres. Pour lui trouver un défaut, je regrette le fond de boîte totalement vide. Étant une tool watch pensée pour être robuste, on ne s’attend pas à un fond transparent, certes, mais il aurait peut-être été appréciable d’y trouver un logo Tudor ou un plan des Time zones, ce qui se trouve sur d’autres montres. Pour finir, mon avis sur la marque Tudor: Certains lui reprochent d’être “la Rolex du pauvre”. Or, ce n’est pas qu’une histoire de prix, il y a aussi une certaine image qui entre en jeu. Tout amateur d’horlogerie reconnaît l’importance de Rolex dans le domaine mais nombreux sont ceux qui préfèrent ne pas être associés à une clientèle intéressée uniquement par le statut que confère la marque. On pourrait également critiquer sa stratégie marketing d’offre réduite et de listes d’attente ou encore son manque d’innovations en se reposant uniquement sur ses modèles iconiques. Au contraire, sa petite sœur Tudor a été relancée dans les années 2010 avec le slogan “born to dare” car elle ose sortir des sentiers battus. Pour toutes ces raisons, j’ai l’impression que beaucoup de collectionneurs préfèrent sa petite sœur Tudor. Diamètre: 41 mm Epaisseur: 14.8 mm Réserve de marche: 70 h Année: 2021 Réf: M79830RB Profondeur: 200 m Calibre MT5652 certifiée COSC

a year ago

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6

386

Comme un air de Quantième Perpétuel...

4.2

À la recherche d’une montre à Quantième Perpétuel pour ma collection, j’ai vite été refroidi par le prix d’une telle complication. Je me suis donc rabattu sur une catégorie plus abordable: celle des Quantièmes Annuels (Contrairement aux QP, ceux-ci ne prennent pas en compte les années bissextiles, il faut donc les régler une fois par année à la fin février). Mais dans cette catégorie, les jours de la semaine et les mois sont souvent affichés dans des guichets et non sur des sous-cadrans avec aiguilles comme c’est plus souvent le cas sur des QP. Or, c’est justement ce style de représentation qui me plaisait. Je trouve ça fascinant de pouvoir voir toutes les mesures du temps sur des sous-cadrans, que ce soit en base 12 et 60 pour les heures et les minutes, mais aussi de manière plus complexe en base 7 ou 31 pour les jours de la semaine et la date du mois. Après moult recherches, cette montre était la seule qui répondait à mes critères. En l’observant plus en détail, on notera la représentation originale des phases de lune sur un sous-cadran avec aiguille. Celui-ci affiche 4 phases de lune (pleine lune, dernier quartier, nouvelle lune et premier quartier) disposées en croix, de la même manière que les sous-cadrans et avec les mêmes couleurs que les aiguilles. Celles-ci se déclinent en deux tons: or rose pour le Quantième Annuel et bleu pour le chronographe. Celles des heures et des minutes sont en or rose et en forme de glaives (style commun de la marque Minerva, rachetée par Montblanc). Ce style tranchant est repris dans les index en or rose disposant d’une arête en leur centre. Enfin, la pointe de l’aiguille des secondes du chronographe est rouge, tout comme l’indication des minutes à 15, 30 et 45 ainsi que le date du 31. Quant à lui, le bracelet est en cuir noir d'alligator avec une élégante boucle déployante. Cependant, il manque à mon sens 2 ou 3 crans pour les petits poignets. Le petit détail qui sublime cette montre est sa couronne sertie de l’emblématique logo Montblanc, représentant le fameux sommet et ses six glaciers attenants. J’apprécie beaucoup l’élégance de cette montre au design très réussi. Les deux tons des aiguilles se marient très bien avec le fond argenté du cadran et le tout peut refléter des éclats discrets selon la lumière. Les sous-cadrans, les index et les aiguilles sont bien proportionnés et équilibrés. Ainsi, on se laisse facilement envoûter par la multitude d’infos indiquées ainsi que par le soin apporté aux nombreux petits détails. En ce qui concerne les points négatifs, on peut relever une certaine épaisseur mais cela se comprend au vu des nombreuses complications du quantième annuel couplées au chronographe. En l'occurrence, ce dernier me semble superflu sur un tel modèle. D’ailleurs, ses boutons poussoirs manquent légèrement de fermeté à mon goût. Le fond de boîte est transparent mais le mouvement n’est pas des plus fascinants à contempler. Il n’est guère décoré et on n’y voit pas grand-chose. Pour finir, mon avis sur la marque Montblanc: J’étais d’abord sceptique face à cette marque qui ne fait pas partie des grands noms horlogers et qui est davantage connue pour ses stylos. Mais peu à peu, intrigué par certains modèles, je m’y suis intéressé. Contrairement à ce que je pensais, la marque n’est pas française mais allemande, ce qui reste difficile à avaler pour un Genevois amateur de belles montres. Cela dit, sa branche horlogerie est basée en Suisse (l’honneur est sauf!). Elle dispose de 2 manufactures, une à Villeret (ancienne manufacture Minerva rachetée par la marque), dans le Jura bernois et une au Locle, dans le canton de Neuchâtel. C’est pour cette raison que toutes leurs montres portent l’inscription “swiss made”. Véritable marque horlogère à part entière, elle produit entièrement ses propres mouvements et propose des modèles au caractère unique. Diamètre: 42 mm Epaisseur: 13.8 mm Réserve de marche: 42 h Année: 2016 Réf: 114875 Profondeur: 30 m

a year ago

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