Discover the 5 watches in the Invictus_S_e_r_g_i_o collection

LA mal aimée des Rolex dans sa version 116 900, celle là même qui a cassé les codes esthétique et visuel de toutes les Air King précédentes à sa sortie en 2016 La Air King est tout à la fois une incarnation et un paradoxe. La première car elle s’inscrit dans une gamme parmi les plus anciennes de la marque à la couronne. Aussi loin que ceux qui me liront s’en souviendront, ils auront pour l’immense majorité toujours entendus parler de la collection « Air » dont la « King » est la seule survivante à la veille de ses 80printemps. Le second car il s’agit d’une professionnelle qui dans CETTE version n’en épouse aucun code ; parce qu’elle déroge au sacrosaint principe de respect des aînés tant elle est depuis pratiquement sa naissance la mal aimée des afficionados, parce qu’elle est souvent décriée, houspillée sans que l’on puisse dire véritablement pourquoi et hélas, à tort souvent… Summum de précision selon les standards Rolex, Oysclaps et Easy Link pour la praticité, anamagnétisme total de par la cage en fer doux qui renferme le calibre manufacture 3131 partagé avec la Millgauss, Logo Rolex siglée de sa couleur historique et couronne en jaune trônant sur le cadran, index horaires 3 6 9 en applique et en Or Gris 18k, aiguilles Mercedes et trotteuse sucette verte… D’un point de vue technique, tout est présent, dans le respect des standards de la locomotive horlogère. D’aucun diront que le boitier est trop épais et que la montre est très lourde. N’exagérons rien. D’autre diront que le cadran est trop chargé. J’ai vu pire. Enfin, on dira que cette montre ne mérite pas son statut de « professionnel » ? Et si ce n’était pas là sa singularité? Il est d’ailleurs à ce titre regrettable à mon modeste avis que CETTE Air King là ait été remodelée en 2023 pour la rendre plus conforme à un moule qui ne laisse chez Rolex qui peut de place à l’anticonformisme et qui fait le charme de l’horlogerie… En définitive, une belle montre, idéal pour débuter chez Rolex du moment qu’on garde à l’esprit qu’on paiera toujours dans le prix d’achat chez eux une partie d’histoire, une partie de prestige…

Tombé véritablement sous le charme du temps en 2021, je cherchais à acquérir 1 an et demi après mon second garde-temps d’une grande fabrique horlogère. Pourtant, Après moults vidéos regardées de Xavier, après une quantité infinie d’articles et magazines spécialisés épluchés, je n’arrivais toujours pas à me décider… Un beau jour (ou était-ce une nuit ?), je me suis rendu dans une boutique bien connue des Lyonnais pour ces tocantes de seconde main pour juste « regarder et essayer » sans volonté actée d’achat et la chance a voulu que je me retrouve aux cotés de cette beauté au même endroit, au même moment. Dès la vitrine, mon attention fut happée. Il faut dire qu’elle en impose avec son boitier 41mm que les 2 boutons poussoirs et l’imposante couronne plate siglée d’une rose rendent encore plus imposante. La montre est « lourde » ce qui va de paire avec l’impression de solidité qu’elle dégage. Port au poignet agréable, visuel hypnotisant : Le mélange black-opale est vraiment réussi et l’absence d’une troisième sous comptoir aux côtés de la petite seconde et du minuteur évite de trop alourdir le cadran. Bracelet « Oyster » à boucle déployante classique et fermeture formant le « Bouclier Tudor ». Joli. La lunette tachymétrique en aluminium et indications argentées est désuète mais fait incontestablement le charme de la montre. Le chronomètre est,en 2023, gadget mais reste une complication horlogère incontournable ! Attention à bien revisser les boutons après utilisation sinon bye-bye l’étanchéité (de 200mètres) ! (On l’apprend avec expérience -_-) Certification COSC pour une précision remarquable et remarquée autant que le verre saphir bombé. La montre est difficilement trouvable en AD ce qui confirme que Tudor monte en gamme depuis quelques années et n’est plus que la seule « petite sœur de Rolex ». #listedattente. Elle peut à ce titre constituer un placement intéressant (sa valeur sur le marché gris à tendance à être supérieure qu’en boutique) Au niveau des bémols, fond de boite plein et peu travaillé . Aucun intérêt esthétique. Le luminova n’est pas des plus brillants et s’estompe rapidement et la trotteuse du chrono n’en est pas enduit si bien que la fonctionnalité n’est d’aucun utilité la nuit ou dans l’obscurité. Dont acte. Guichet date à 6h sans loupe grossissante. Dommage. L’ensemble demeure toutefois très bon; l'essayer c'est l'adopter! Nb: son look sportif convient à tous les types de styles ou de tenue mais son gabarit impose une certaine carrure de poignet.

Une plongeuse « édition spéciale 50ans du modèle » chez les spécialistes des montres d’aviation, c’est peu commun ! Une montre de cette dimension, ça l’est encore moins ! 46mm au poignet… D’aucun n’y verront qu’une montre pour l’ostentation, que l’on revêt uniquement pour qu’elle soit vu et reconnu… Je vois ici un sublime garde de temps d’un bleu soleillé hypnotique, cadran 3 aiguilles et logo Breitling en Or 18k joliment agrémenté d’index bâtons d’un contour « chemin de fer » qui ne semble ne faire qu’un avec la lunette en céramique du même ton. Le rendu est simple, efficace et donne une tocante qui donne l’heure précision COSC avec une belle réserve de marche de 70h. Que demande le peuple ? Ab initio, ce type de modèle ne m’intéressait guère jusqu’à ce que j’en croise un en vitrine et qu’après essayage, son imposant diamètre ne m’apparaisse plus si dérangeant que cela. Le bracelet en maille milanaise est léger et agréable à porter contrastant ainsi subtilement avec la lourdeur du boitier et formant au final un ensemble homogène. Pour le coup, c’est un véritable plus et un véritable changement par rapport aux classiques. Mécanisme de fermeture à boucle déployante avec rappel de l’ancien logo « B ailé » de Breitling barré d’une ancre. Détail sympathique. La montre est rassurante et objectivement réussie en terme de visuel, dans un design sport-chic qui permet de l’accompagner avec n’importe quelle tenue. Au niveau des bémols, une lunette unidirectionnelle sans indications chiffrées qui « bruite » de façon assez banale. Les 120 dents qui l’a compose n’est pas des plus agréable au toucher et la calligraphie de « SuperOcean » n’est pas la plus belle chose qui existe en ce bas monde. L’indication du quantième date avec une loupe grossissante n’aurait pas été un luxe pour une montre de (petite) plongée (200m)… Bref, autant de détails qui font que l’on ressent bien que Breitling préfère voler plutôt que nager. Mais n’allant pas plus loin d’où j’ai pied, ces défauts sont pardonnés. Achat très récent, pour remplacer une Aquaracer professionnelle que j'ai beaucoup aimé, beaucoup porté mais qui ne m'apportait plus aucune émotion. Lassitude, envie de monter en gamme il manque l’expérience des jours heureux pour voir comment elle évolue avec le temps passant. Peut-être modifierais je mon avis dans quelques temps donc (si la plateforme me le permets haha)

Surpiqué d'horlogerie depuis plus de 2ans, je me suis progressivement constituer une collection (uniquement composée de mouvement manufacture/COSC) par paliers et par thèmes (plongeuse, chronographe) ; augmentant progressivement mes investissements. Tag Heuer, Tudor, Breitling...La prochaine étape ne pouvait être -dans mes moyens- que la célèbre marque à la couronne. Sans être un afficionado primaire de Rolex, j'ai fini par mesurer toute la majestuosité de la marque à force de me documenter dessus et suis progressivement tomber amoureux du modèle que je possède aujourd'hui. Loin d'être un modèle confidentiel, la "Wimbledon" à mes yeux la plus belle version des datejust, alliant tout à la fois élégance et sportivité. Cette version, achetée en boutique officielle( la première, préférant miser pour des considérations financières et le service client sur la seconde main) dispose du nouveau calibre Rolex 3235 (RDM 70h), antimagnétique et résistant aux chocs ainsi de la rallonge de confort Easylink. Toutes les dernières innovations Rolex à portée de poignet en somme. Les chiffres romains noir cerclés de vert m'apparaissent comme une véritable merveille dont je ne me lasse pas de contempler les variances de couleurs selon la lumière projetée sur le cadran finition ardoise et somptueusement brossé de manière circulaire. Vraie réussite visuelle. Le choix d'une configuration Oyster et d'une lunette lisse est motivé par des considérations esthétiques personnelles, préférant le Jubilee sur une GMT et n'aimant pas forcément le mélanges de métaux pour une lunette cannelée. La montre est confortable à portée, adaptable à toutes tenues. Je regrette toutefois que le fermoir oysterlock soit un aimant à rayure (mais quel fermoir ne l’est pas en vérité ?) et que la visibilité dans l’obscurité soit moyenne. Belle expérience d’achat. Dépôt de 3 souhaits en Mars 2k23 (La wimbledon,la datejust cadran vert menthe tapissé et une OP classique noire). Délai d’attente annoncée de 10 à 12 mois. Rappel en Juin 2K23 pour me proposer une autre alternative (DJ cadran vert soleillée). Je parviens finalement à obtenir après discussion mon premier choix. Versement d’un acompte de 30% et délai de livraison annoncée de 3 à 6 mois. 20 jours plus tard/ début Juillet 2K23, annonce que ma montre est disponible et acquisition dans la foulée. Chanceux. Ma collection s’agrandit de la plus belle des manières ! Porchaine objectif, un mouvement japonnais ! Le fait que je connaisse la personne qui m’a accompagné tout au long du processus m’a sans doute aidé (il s’agissait d’un de mes anciens étudiants en alternance chez Rolex, moi qui jusqu’à une période très récente enseignait à l’université). Hâte d’échanger sur ce modèle à l’occasion de l’évènement horloger organisé par « A la bon’heure du tic-tac » le 21/10/2023 à l’hotel intercontinental de Lyon !

La montre idéale pour débuter dans l’horlogerie de luxe. Pour les amoureux du style, cette montre se marie avec tous types de styles, du costume d'apparât à la tenue décontracté du Dimanche Un prix public « adapté » pour une tocante de qualité portant en héritage l’histoire d’une iconique marque horlogère ; sans basculer dans la démesure de prix de montres sans complication particulière d’autres marques. Cette plongeuse (300m) saura convenir à ceux en quête d’un garde-temps discret qui, bien qu’imposant avec ces 43mm, est méconnu des néophytes et ne sera finalement reconnu que par une poignée de connaisseurs. Subtile mélange d’acier inoxydable brossé et de céramique, l’ensemble boitier-lunette unidirectionnelle est esthétiquement très beau de par sa géométrie peu commune (et renforcée par les protèges couronnes). Le fond de boite est plein avec une gravure en forme de scaphandre qui n’altère en rien le porté d’une tocante très agréable au poignet. Le cadran nervuré et soleillé bleu donne l’impression de regarder une montre différente à chaque fois, selon l’angle de vue. Le logo (à l’instar des aiguilles) est rhodié ce qui donne du coffre à la montre. Bracelet avec boucle déployante siglée à ajustement sur 15mm (pour la plongée notamment). Bémol : cette boucle est un aimant à micro rayures si on en fait un usage régulier (et oui, une montre ça se porte !) mais qui disparait facilement au polissage. L’entretien facile, la prise en main simplisme pour un ensemble vraiment réussi d’un classique de Tag Heuer que je ne peux que conseillé de par son excellent rapport qualité prix. Peut-être aurait-il fallu une réserve de marche plus haute que 38h et une disponibilité pour les modèles acier autre que les classiques noir/blanc/bleu.